1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1099)


    Datte: 28/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1087) - Puis chacun fut amené au poste qu’il devait occuper… Quand Monsieur le Marquis d’Evans ouvrit la porte devant Son ami, dans ce premier Musée Mondial de la D/s tout était plongé dans le noir. Le Châtelain invita Wangdak à entrer. Au moment où ce dernier passa le pas de la porte, le couloir s’éclaira. Tout était magnifiquement décoré. Le sol était en une moquette épaisse bleu roi quadrillée aux liserés jaune or, moquette étouffant les bruits des pas. Les murs étaient couverts de riches tentures rouges bordeaux. L’éclairage était fait par de magnifiques et volumineux lustres à pendants de cristal tels ceux que l’on trouve, par exemple, à Versailles. Des cadres en bois précieux couverts de feuilles d’or mettaient en valeur des peintures, des gravures, des dessins, des photos de toutes époques, de tous pays, de situations D/s. des sculptures étaient disséminées un peu partout, D/s ou simplement érotiques. Quand ils avancèrent dans la galerie, des vitrines s’illuminaient au fur et à mesure de leur avancée et s’éteignaient lorsqu’elles étaient dépassées, laissant les visiteurs toujours dans la pénombre. La première vitrine s’illumina sur une sorte de grande maison de poupées. A l’extérieur se trouvaient autant de boutons que de pièces. Lorsque l’on appuyait sur l’un d’eux, la pièce concernée s’illuminait et des automates prenaient vie et vivaient un moment D/s. Dans une vitrine plus petite se ...
    ... trouvaient des jeux érotiques, comme un jeu d’échec où chaque pièce représentait un acte D/s, des jeux de cartes et des jeux de dés coquins… autour d’un magnifique siège d’amour fabriqué à Paris en 1890. Un peu plus loin, il y avait une exposition impressionnante, fixe, de plugs, godes, vibrants ou non, en plastique, bois, métal. Il y avait même des pénis factices qui se remplissaient d’un liquide blanchi et épaissi au couleur du sperme, et après un temps défini de masturbation avec, se mettait à « éjaculer ». Il y avait des rangées de fouets, badines, triques, martinets, pades. En dessous de chaque objet, il y avait des pancartes indiquant le pays d’origine, la matière, l’ancienneté, et, au cas où une personne visitant le Musée douterait de l’utilisation de l’un d’eux, un descriptif indiquant le fonctionnement. Tout le texte était traduit par des écouteurs à la demande de la langue du visiteur en anglais, espagnol, brésilien, portugais, allemand et chinois. Il y avait également de faux seins, de fausses vulves et de faux pénis pour exposer différentes manières à les anneler, avec un nombre d’anneaux toujours croissant. Il y avait également une grande collection de colliers, de laisses d’un côté, de l’autre tout ce qu’il fallait pour attacher, ligoter, allant de simples menottes à des manchettes en cuir richement décorées, des cordes en toutes matières, des chaînes… Des « smother box », traduit littéralement « des boites à étouffer » : la tête du soumis est enfermée dans une boite en ...
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