1. Envoûtante Nathalie


    Datte: 14/08/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail toilettes, volupté, Masturbation

    ... tenais gauchement devant ce petit bout de femme, comme un adolescent à son premier rendez-vous. Elle s’approcha de moi, se mit sur la pointe des pieds et déposa un chaste baiser sur mes lèvres. Je lui répondis qu’elle aussi m’avait énormément manqué, et je lui retournai le baiser. Me jetant à l’eau, je laissai ma bouche embrasser ses joues, son cou, ses épaules nues. Nathalie se lova contre moi, nos bouches se retrouvèrent, nos langues se mirent à se taquiner, après tant de journées d’éloignement. Je laissai mes mains caresser les flancs et les fesses de mon amante à travers sa fine robe. Elle soupirait d’aise, sa bouche dévorait la mienne, je sentais ses petites mains câliner mes fesses. Nous nous embrassâmes intensément comme si cela était notre dernier baiser. Hors d’haleine, je m’agenouillai devant Nathalie et déposai un doux baiser sur son ventre rond, à travers la fine dentelle de sa robe. Mes mains ensuite remontèrent le long de ses mollets nus, je soulevai la robe et embrassai la soyeuse peau de ses cuisses. Nathalie se mit contre le mur de mon bureau. Alors que j’étais toujours agenouillé devant elle, elle caressa ma chevelure et me pria de laisser ma bouche remonter vers le centre de son plaisir. Je me retrouvai à quatre pattes sous sa robe, ma bouche collée sur sa petite culotte. Je respirai les parfums marins qui déjà se déversaient, je ressentis aussi la douce chaleur de son abricot. Nathalie gémit lorsque je passai deux doigts entre ses fesses tout en ...
    ... bisoutant sa culotte. La situation paraissait cocasse et je me rendis compte que si mon Directeur nous surprenait dans cette position, mon matricule risquait de chauffer. Je priai Nathalie d’arrêter cet échange de caresses, bien trop risqué au bureau. Elle comprit le bien-fondé de ma démarche et nous nous rajustâmes en riant. Malgré tout je n’avais pas envie de stopper ainsi nos ébats. J’entraînai Nathalie vers les toilettes, verrouillai la porte prestement. Nous reprîmes dans ce local confiné nos baisers passionnés. Je lis, dans ses yeux brillants, l’excitation qui progressait en elle. Je voyais également les bouts de ses petits seins pointer sous le fin tissu de sa robe. Nathalie remarqua la bosse qui enflait mon entrejambe et elle me glissa dans l’oreille : — Montre-moi comment tu t’es masturbé pendant mon absence. Je la regardai, un brin interloqué. Sa bouche en coeur me souriait et je distinguai, entre ses lèvres, ses petites dents blanches. — S’il te plaît, j’aimerais te voir te branler pour moi, me dit-elle, en insistant de sa petite voix de poupée. J’avais l’impression de vivre un rêve. Cette irréalité me semblait absurde mais en même temps elle m’excitait et je déboutonnai mon pantalon devant Nathalie assise sur le couvercle des toilettes. Elle m’attrapa le pantalon et mon slip qu’elle suspendit à la patère de la porte. J’ôtai également ma chemise. J’étais nu devant Madame, avec une érection de tous les diables. Elle rapprocha son visage de ma hampe gonflée qui tressautait ...