Envoûtante Nathalie
Datte: 14/08/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
toilettes,
volupté,
Masturbation
... devant ses yeux. Elle déposa un baiser sur le bout de mon gland et me demanda de me branler pour elle. Il est vrai que j’ai toujours aimé me masturber devant une femme, cependant jamais je ne lui avais communiqué ce désir. Nathalie me souriait toujours, elle m’encourageait du regard. De la main droite je m’empoignai et débutai d’abord de timides va-et-vient avec mes doigts le long de ma hampe. Je regardais mon assistante dans les yeux. Je voyais sa bouche entrouverte, sa langue léchant les lèvres. Elle salivait elle aussi devant le spectacle de son boss nu devant elle. Nous ne prononcions aucune parole, on entendait simplement mes halètements et le frottement de ma main sur ma verge. Je commençais à ressentir des vagues de bonheur, encore lointaines, annonciatrices du plaisir qui devait me submerger. Nathalie continuait à me regarder, elle admirait mon joli coup de poignet, signe d’une longue expérience, pensa-t-elle. Ma respiration s’accéléra. Mes va-et-vient étaient de plus en plus rapides. Je regardai ma verge et découvris que jamais elle n’avait atteint une si grande taille ni un gland aussi violacé. Je voyais de gigantesques veines bleues courir sous la fine peau de ma hampe. J’étais un peu effrayé par une érection aussi monstrueuse, j’avais l’impression que cet organe était devenu indépendant de mon corps et qu’il ne m’appartenait plus. OOOOOOOOOOOOhhh quelle vision aussi terrifiante mais délicieuse à la fois, pouvoir atteindre un tel degré d’excitation simplement en ...
... me masturbant devant mon assistante. Cette sensation m’entraîna vers le point de non-retour, je gémis, avertissant Nathalie de ma jouissance imminente. Soudain elle porta devant moi un gobelet en plastique et me somma d’éjaculer dans celui-ci. Elle porta immédiatement ce réceptacle devant ma verge juste à l’instant où le plaisir me submergea. Je jouis comme un damné et éjaculai dans le gobelet transparent à longs jets de laitance chaude et grasse. J’eus l’impression de me vider complètement par torrents entiers. Je dus mordre ma main gauche pour ne pas crier tant le plaisir fut grandiose. Mes cuisses tremblaient et je manquai tomber au sol. Nathalie se redressa, elle prit ma hampe encore bien érigée entre ses mains, la pressa un peu pour en faire gicler les dernières gouttes de lave blanche. Je fermai les yeux, en m’adossant contre la porte des toilettes, le souffle court. — Regarde, me dit-elle. Et je vis Nathalie porter le gobelet à sa bouche. Elle but, telle une assoiffée, toute ma sève, en me regardant au fond des yeux. J’eus le souffle coupé tant la quantité de sperme me semblait impressionnante. Elle but ce breuvage jusqu’à la dernière goutte, je la voyais savourer cet instant magique. Ensuite Nathalie se colla à moi et elle m’embrassa goulûment, sa bouche avait l’odeur de mon sperme, et elle laissa de longues giclées baveuses sur mes lèvres. Je me rajustai, et suivis Nathalie hors des toilettes. J’avais l’esprit vide et l’impression d’avoir été vampirisé par le sexe car ...