1. Le maçon d'en face


    Datte: 14/08/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    - Je n’ai jamais pensé réaliser un tel fantasme, me dit-elle en allumant une cigarette aussi fine que ses doigts.Madame M. était allongée sur un canapé dans mon cabinet. Elle a la quarantaine. C’est une femme d’affaires tunisienne très respectée dans son domaine à savoir le commerce téléphonique. Elle est mariée. Elle habite dans un quartier huppé à Tunis. Fille de bonne famille, elle a étudié à Paris et a suivi une formation en management dans une université londonienne. Elle est polyglotte, sportive, très éloquente et intellectuellement curieuse. Elle connait par exemple l’histoire de Carthage sur le bout des doigts. Elle a même raté une carrière d’archéologue, ayant le bac dans sa poche elle hésita entre l’Ecole de commerce et la faculté des Lettres.Elle est venue pour la deuxième fois dans mon cabinet. Elle m’a abordé il y a deux mois dans un séminaire de psychiatrie. Elle voulait une consultation pour comprendre un problème « grave » qui hante ses nuits à telle enseigne qu’elle n’arrive plus à dormir tellement elle ressentait un mélange de désir et de dégoût.Madame M. était une belle femme. Des cheveux châtains, une poitrine généreuse, des jambes interminables. La peau blanche et les yeux verts ajoutaient à son physique un charme incommensurable. Si l’on voit pour la première fois, on est frappé par son assurance et sa démarche à la fois sérieuse et sereine. Dans la société tunisienne et eu égard à sa famille, elle était la femme idéale : libre, correcte, pudique, ...
    ... maternelle, attentionnée. Elle ne semble pas à première vue rangée par un fantasme qui veut le dépasser, l’oublier, le jeter aux oubliettes.Son fantasme s’est formé au fil des temps.- J’avais une amie à moi à Paris. Un jour elle m’a proposé d’aller jeter un coup d’œil dans un sex shop. Au départ j’ai cru à une plaisanterie. Moi, sex shop ? C’était plutôt pour les vieux pervers et les quelques filles légères. J’avais une vie sexuelle normale. Sans excès. Sans piment aussi. Mais de là à aller à un sex shop ? Non ! Merci !Son amie a insisté. Elle lui a dit que c’était un endroit à découvrir et que finalement, pour la tunisienne qu’elle était, personne ne va la reconnaître. Elle lui a parlé de son fantasme : voir des mecs se branler. Des pervers. Elle en a marre de son copain, trop bourgeois, trop clean. Elle voulait voir des queues solides, en érection, en alerte. Rien de plus. Elle ne cherchait pas à faire l’amour, ni à se faire toucher. Il s’agissait juste de pénétrer une salle de projection et de rester là, à voir des inconnus se masturber face à un film porno.Pour la rassurer elle lui a dit qu’elle connaissait le proprio du sex shop.- C’était un mec affable. Gentil. Il portait des lunettes. Il rassurait. Il me fait penser à un jeune adulte tout sorti de la faculté de philosophie. Il nous a dit que nous ne craignons rien à l’intérieur. Il connait un peu les habitués et ils sont pour la plupart des gens corrects. Il y a même des banquiers et des médecins assurera-t-il. Tout donc ...
«123»