1. Le maçon d'en face


    Datte: 14/08/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... dépendra de nous, de ce que nous voulions faire.- Après, lui dis-je, que s’est-il passé ?- Nous sommes descendues un escalier sombre. Il y avait une odeur paradoxale, un mélange d’odeur de cuir et de sperme. C’était bestial. Mais cela m’excitait. Je sentais mes narines palpiter. C’était excitant au final. En bas, il y avait une salle de projection. Il y avait un film X, deux blacks qui pénétraient une jeune femme de race blanche. Dans la salle, il y avait trois mecs, on pouvait apercevoir leurs têtes dans le noir. Ma copine s’est approchée d’eux. Elle portait une petite robe et des tallons hauts. Elle m’a regardé et avec un geste de la main elle m’a dit de venir. Je me suis approchée d’eux. Ils avaient les yeux globuleux surpris de nous voir ici. Ils tenaient leurs queues dans la main et se masturbaient frénétiquement. Ma copine leur a dit qu’elle ne voulait pas faire de sexe, ni de fellation. Elle veut tout au plus toucher à leurs pénis en érection et pourquoi pas leur permettre de toucher à ses fesses et à sa poitrine mais pas les seins précisa-t-elle. J’étais là debout. Je n’ai pas bougé. Les mecs ont commencé à la caresser doucement, en soulevant sa robe. Elle mouillait comme une fontaine.C’était ce qu’on appelait en psychiatrie la « scène fondamentale ». Madame M. a observé. Elle était excitée mais elle a demandé à sa copine de quitter les lieux. Il y avait chez elle un mélange de panique et de curiosité. Un désir mitigé donc.Cette expérience est restée orpheline, ...
    ... sans lendemain. Quelques années après de retour à Tunis, Madame M. s’est investi dans son boulot. Sa vie sexuelle était normale, c’est-à-dire selon elle, elle faisait l’amour avec son mari, deux à trois fois par semaine. Parfois moins et cela ne la dérangeait pas.Un jour, dans le cadre d’un déménagement, elle a ressenti un truc bizarre. Elle était dans sa maison qui était jusque-là une bâtisse en construction, elle supervisait les travaux avec deux ouvriers. C’était l’été, son mari était en voyage. Elle portait une robe blanche qui arrivait jusqu’aux genoux. En montant l’escalier elle a ressenti un truc bizarre. Il y avait quelqu’un qui la matait d’en bas. En se retournant elle a observé un ouvrier, la tête basse en train de suivre ses mouvements. Il a eu peur. Il s’est éclipsé en arguant qu’il avait un truc à faire. Elle pense aujourd’hui que cet ouvrier est allé dans la salle de bain pour se masturber.Cette scène est restée isolée. Mais elle constituait un rappel par rapport à la scène fondamentale. Elle a imaginé l’ouvrier la prendre par derrière avec ses mains rustres et sa sueur répugnante. Peu à peu, elle a trouvé l’homme idéal pour son fantasme : un homme qui se trouve aux antipodes de son mari, c’est-à-dire un mec bien bâti, rural, vulgaire, à la queue dure, de préférence un maçon ou pourquoi pas un agent municipal chargé de vider les poubelles. Et dieu sait, a Tunis, il n’y a que ça.- Parlez-moi de votre expérience …- C’était dimanche. J’étais seule à la maison. J’ai ...