1. Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (2 / 3)


    Datte: 14/08/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, essayage, cinéma, école, fsoumise, hdomine, chantage, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, confession,

    ... a cure, probablement habitué à ce type d’attitude et me tient la main en regardant les vitrines. Nous mangeons un sandwich rapide et continuons notre promenade. Abou me pousse gentiment dans un magasin de lingerie. Je demande les modèles de soutien-gorge à ouverture sur le devant. La vendeuse nous propose plusieurs modèles, et j’opte pour un ensemble coordonné jaune transparent, avec un mini string (j’adore avoir des dessous assortis). Lorsque j’entrouvre le rideau pour appeler Abou pour voir le résultat, il arrive tout timidement en s’étonnant de me voir avec le string sur ma culotte. Je dois lui expliquer que c’est ainsi partout lors des essayages, qu’il est interdit, pour des raisons d’hygiène, d’enfiler le slip directement sur soi ; il me dit que cela me va super et me suggère de garder sur moi le petit ensemble. J’en informe la vendeuse, ôte l’ancien, remets le neuf, mais au moment de sortir, Abou revient avec un shorty noir et le soutien-gorge assorti déniché je ne sais où. — Essaie-les, me dit-il, ils sont à croquer… Abou m’a trouvé un ensemble digne d’un sex-shop : la culotte type shorty est largement fendue sur le devant et le soutien-gorge s’arrête sous la pointe des seins ! Ne voulant pas le contrarier, je fais un nouvel essayage, dès que la vendeuse apporte les tailles appropriées. Son sourire complice m’incite à croire qu’elle n’est pas étrangère au choix de ce modèle. Abou revient, toujours un peu moins timidement, jette un œil, et je vois sa bouche faire un ...
    ... O de satisfaction. — Garde-les sur toi, me dit-il d’un ton dont la fermeté me surprend. Me voilà devoir régler les deux ensembles, je vais de nouveau recevoir une lettre de mon banquier ! Au moment de sortir de la boutique, je me rends compte que je ne peux pas décemment traverser le centre commercial ainsi habillée, mes seins sont apparents, alors que je subissais déjà des regards lourds. Je dois retourner en changer. Abou refuse et, grand seigneur, ôte sa veste et me la passe sur les épaules. Me voilà flânant avec sa veste qui ressemble à un grand manteau. Je dois en plus la serrer sur mon buste ! Merveilleux quand on est déjà trop (mal) regardée par les gens ! Je suggère donc à Abou une séance de cinéma qu’il accepte. Nous n’avons pas trop à attendre pour le film, et Abou, dans la queue, fait glisser sa veste sur mes épaules. Je croise son regard que je trouve particulièrement coquin. Il me glisse à l’oreille : — Quand viendras-tu ainsi faire ton cours au lycée ? Il a décidément l’art de me faire rougir devant tout le monde et, lorsque nous gagnons nos places, je sens un vif intérêt masculin et de la réprobation féminine. Je m’absorbe dans le film, mais rapidement je sens la main d’Abou, passée sur mon épaule, jouer avec les boutons de mon corsage, qu’il ouvre un à un. La salle n’est pas pleine, mais j’ai l’impression qu’un homme qui m’avait précédemment regardée entrer, assis à quelques fauteuils, me fixe avec insistance. Je confie mon anxiété à Abou ; non seulement le ...