1. Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (2 / 3)


    Datte: 14/08/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, essayage, cinéma, école, fsoumise, hdomine, chantage, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, confession,

    ... manège de ses doigts ne cesse pas, mais je vois un sourire éclairer la blancheur de ses dents. Lorsqu’il ne me reste plus que le dernier bouton, il englobe mon sein gauche de sa main, joue avec mon téton puis avec la pression, qui cède assez vite : me voilà dépoitraillée au ciné ! Il titille mes pointes qui durcissent puis pose ses doigts sur ma cuisse. Je veux me rajuster, mais il arrête mon geste de sa main inactive. Sa paume migre en une douce caresse vers l’intérieur de ma cuisse, puis fait pression pour me forcer à m’ouvrir. Ses doigts remontent maintenant avec lenteur, je n’arrive pas à me plonger dans le film et évite de regarder mon voisin vers la gauche. Il touche maintenant mon shorty et décrit de petites figures autour de son ouverture. Il doit sentir que je deviens mouillée… Et c’est ma propre main, malgré moi, qui le pousse à entrer dans la fente du tissu. Là encore, avec une infinie délicatesse, il me caresse les lèvres du dos de l’ongle. Je m’ouvre encore plus, ma jupette remonte. Une onde de plaisir me traverse lorsqu’il frôle mon clitoris. Je m’agrippe aux accoudoirs, ferme les yeux, me mords les lèvres pour ne pas crier et un flot vient inonder ses doigts… Je tremble de jouissance pendant un long moment et lorsque j’ouvre les yeux, je vois son visage tout près du mien, observant mon plaisir. Je dépose un baiser sur ses lèvres. J’ai complètement perdu le fil du scénario du film. Maintenant, il me faut réparer les dégâts. J’ai la chatte toute poisseuse, les ...
    ... doigts aussi, et redoute de tacher mon chemisier en le reboutonnant. J’y parviens presque au moment où s’allument les lumières. Au moment où je me lève avec Abou, nous croisons le regard du voisin qui nous gratifie d’un grand sourire et d’un geste éloquent… Nouveau fard ! La traversée du mail jusqu’au parking, emmitouflée dans la veste, s’effectue au pas de charge. Alors que je conduis, Abou s’amuse à nouveau à retrousser ma jupe et à jouer avec l’ouverture du shorty qui, décidément, l’excite au plus haut point. Je dois le réprimander sérieusement pour éviter l’accident. À peine arrivés chez moi, alors que je suis encore dans la cuisine, il me saisit par les hanches, m’assois sur la table, place mes mains en arrière, retrousse ma jupe et sort son gros pénis sans même ôter son pantalon. Il le glisse à même la fente de mon dernier rempart et entre sans résistance au plus profond de moi… Je me dis que cet investissement aura eu une vie bien courte, puis les vagues déferlent, je suis au nirvana ! Il se rajuste après m’avoir inondée de ses sucs, car il doit partir, il a un match de basket et doit se lever aux aurores. Je regarde les grosses taches entre mes cuisses où se mêlent nos humeurs. C’est impressionnant de voir tout ce que peut cracher mon bel étalon noir. J’ai droit au baiser cinéma, il me demande mon numéro de portable. J’y mets une condition : qu’il s’engage une fois de plus à ne plus tirer sur PC ou papier les photos prises par Youssef avant que nous le rencontrions. Il ...