1. Clin d'œil à LaComtesse (suite et fin)


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, couplus, cadeau, cocus, essayage, fête, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe échange, piquepince, confession,

    Résumé :Marc est à la retraite. Il se découvre une passion pour une robe que sa femme Armelle porte, robe de couleur rouge-fuchsia. Dans un premier temps, cette découverte déclenche chez lui des envies de sexe et d’érotisme qu’il partage avec sa femme. Tous deux se découvrent des ardeurs inventives.Mais la passion est exclusive et lorsqu’il pense qu’Armelle le trompe, il n’hésite pas à vouloir se suicider. Mais au dernier moment, le pied encore sur l’échelle, sa femme lui fait comprendre que l’amant n’en est pas un, mais un demi-frère caché par la famille.Heureusement, il s’arrête à temps et les époux, les amants, reprennent leur vie si agréable et aimée.C’est cette histoire qu’un ami de Marc, confident de son aventure, a relaté dans le récit 16741.VincenLise – c’est le nom d’auteur de cet ami – avait juste changé les prénoms : Dominique pour Armelle, Paul pour Marc. Mais tout ce qu’il a écrit provient des confidences de son ami. __________________________ Armelle retourne régulièrement dans la boutique où elle a acheté la fameuse robe et ses petites sœurs. Le magasin est tenu par une femme mûre, aidée par une jeune un peu excentrique, tout ce qu’il faut pour attirer une clientèle variée à partir du moment où on aime les choses élégantes, robes et lingerie, du plus sage au plus osé. Les femmes la connaissent. Il y a quelques mois, elles se sont étonnées qu’Armelle leur achète la même robe en plusieurs exemplaires. Alors leur cliente, souhaitant rester discrète, leur avait ...
    ... confié que son mari adore la forme et la couleur. Pas plus ! Pas moins ! Mais aujourd’hui, les deux femmes chuchotent à son entrée. Armelle remarque bien qu’elles ne la quittent pas du regard alors qu’elle déambule entre les portants et les rayonnages. Au moment où elle leur demande si elles ont sa taille, la patronne lui demande : — Excusez-moi, mais est-ce que c’est vous, Dominique ?— Non, moi je m’appelle Armelle. Pourquoi ? D’ailleurs vous me connaissez, je viens régulièrement.— Bien sûr, c’est juste que la coïncidence est troublante.— Ah bon. Je ressemble à quelqu’un ? Cette Dominique ? Et cette coïncidence, c’est quoi ?— C’est la robe. Vous savez, celle que vous avez achetée en plusieurs exemplaires. Rouge-fuchsia.— Bien sûr que je me souviens, et alors ? La femme hésite. Elle sort du tiroir de sa caisse quelques feuilles de papier. — Si vous n’êtes pas pressée, lisez ce texte. C’est mon mari qui l’a trouvé sur un site qui s’appelle Revebebe et qui publie des récits d’amateurs. Comme je lui avais parlé de votre achat un peu inhabituel, il a fait le lien. Tenez, asseyez-vous dans ce fauteuil, vous serez plus confortable. Armelle, intriguée, s’exécute. Elle découvre, stupéfaite, le récit des derniers mois de sa vie étalés au grand jour. Le nom de l’auteur,VincenLise, ne lui dit rien ; mais par contre, elle voit bien quel ami de son mari a pu faire une chose pareille. Marc a dû lui raconter toute l’histoire. Il est vrai que sa tentative de suicide a été impossible à cacher, ...
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