1. Clin d'œil à LaComtesse (suite et fin)


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, couplus, cadeau, cocus, essayage, fête, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe échange, piquepince, confession,

    ... et difficile à justifier. Ainsi, il s’en est totalement confié à ceVincenLise qui n’a rien trouvé de mieux que de la publier. Elle comprend que les deux femmes aient fait la liaison avec elle. À quoi bon leur cacher la vérité ? Après tout, elle n’a pas à rougir de ce qui est écrit. — Je comprends votre interrogation. Vous avez raison : je suis la Dominique de cette histoire.— Je le savais ! Je le savais ! exulte la plus jeune.— Du calme, du calme. Je compte sur vous pour ne pas en parler autour de vous. Vous êtes les seules à pouvoir mettre un prénom, et même un nom, sur cette Dominique. Elles promettent. Mais elles ne peuvent s’empêcher de la mitrailler de questions. Heureusement il n’y a pas d’autres clientes. Armelle accepte de les renseigner. Eh oui, l’effet de cette robe est véridique. Eh oui, son mari s’est senti devenir un jeune amant plein de fougue. Eh oui, à cause du quiproquo, il a failli mourir. Eh oui, maintenant qu’ils ont failli être séparés pour toujours, leur amour est encore plus fort, et elle ajoute dans un murmure « Notre sexualité est encore meilleure. » Mais elle tempère leur enthousiasme en disant : — Par contre, je ne suis plus jamais sereine.— Mais pourquoi ? Vous formez un couple que beaucoup aimeraient devenir.— La jalousie de Marc me hante. Surtout les conséquences, bien sûr. La rapidité avec laquelle il a réagi au quiproquo avec mon demi-frère me fait peur. Maintenant, j’ai réduit mes absences au strict minimum. Je vois moins mes amies, ou alors ...
    ... avec lui.— À ce point ! Il vous surveille ? Il vous fait des remarques ? dit la plus jeune.— Non, pas du tout. Marc est un amour. Il s’est excusé de nombreuses fois pour cette erreur. Il me jure qu’il a confiance. Rien chez lui ne peut m’en faire douter, mais c’est moi qui flippe.— Je vous comprends, dit la plus âgée. C’est difficile à gérer. Moi aussi, mon mari était jaloux. Une jalousie maladive. Il me suivait, surveillait mon téléphone. Mais j’ai trouvé la parade ; n’est-ce pas, Chloé ? Elle s’adresse à la jeune vendeuse. Chloé ne répond pas mais sourit à pleines dents. On peut apercevoir un piercing sur sa langue, qui fait pendant à celui qui traverse sa lèvre inférieure. — Et comment avez-vous fait ? s’enquiert Armelle, soudain intéressée. La patronne regarde Chloé. Elle semble hésiter à donner sa recette. C’est Chloé qui l’encourage : — Stéphanie, tu peux lui dire. Après tout, nous connaissons maintenant une partie de l’intimité d’Armelle ; tu peux bien parler de la nôtre.— C’est vrai, et parlant à Armelle : j’ai soigné le mal par le mal.— Qu’est-ce que cela veut dire ? Mais manifestement, Stéphanie ne veut pas tout dire. — Si vous voulez, on peut faire un test pour voir si ma méthode est adaptée à votre mari.— Un test ? Non, laissez tomber, je préfère en rester là.— Vous avez tort, insiste Chloé, ce test est inoffensif. Vous pourrez suivre à chaque instant. Si cela ne vous plaît pas, il suffira de partir.— Mais si Marc s’en aperçoit ?— Aucune raison. Alors, d’accord ?— ...
«1234...18»