1. Le refuge


    Datte: 15/08/2018, Catégories: hh, hplusag, amour, Oral hdanus, hsodo, init, tutu, Gay

    ... aussi parce que nous sommes nus depuis un moment et que, malgré le feu, nous ressentons maintenant la fraîcheur du refuge… Tu es derrière moi, je ne te vois pas, mais je sais que tu viens d’ouvrir le tube et que tu le presses pour en extraire la crème. Le contact froid de celle-ci me surprend lorsque tu me l’appliques sur l’anus… Tes doigts le massent doucement, avec une délicatesse et une insistance un peu perverse dans laquelle il me semble percevoir, chez toi, l’excitation d’une situation qui inverse nos rôles habituels… Un de tes doigts se glisse en moi jusqu’à mi-chemin, bientôt rejoint par un autre… Ils massent doucement ma chair qui se relâche peu à peu, puis brusquement franchissent la deuxième porte, s’enfonçant profondément jusqu’à l’endroit où, par des pressions répétées, ils font naître cette sensation à la fois voluptueuse et vaguement angoissante que je connais bien, me l’étant souvent donnée moi-même… Mais elle me trouble infiniment plus aujourd’hui, car c’est de ta main que je la reçois… Je crains, sous cette caresse, de « venir » trop vite, mais tu l’interromps soudain et retires tes doigts. Ta voix m’avertit tendrement : — Quand je vais rentrer, même si ça te fait un peu mal, ne te contracte pas, reste relâché… Je sens l’extrémité de ton pénis, que tu as lui aussi enduit de crème, venir se placer au seuil d’amour… Je tremble un peu plus fort sous ce contact… En des poussées très douces tu commences un lent mouvement de va-et-vient… Par la sensation qu’il me ...
    ... donne, ton gland me semble énorme… J’éprouve une joie grave et profonde à te sentir entrer en moi… Je réalise que c’est ce que j’avais toujours attendu de toi… de nouveau, ta voix me met en garde : — Surtout, reste relâché… Et soudain, dans une poussée plus forte, ton phallus fait irruption en moi et s’y enfonce profondément… J’ai eu mal, malgré la crème, j’ai même eu l’impression que cela pouvait me déchirer l’anus, mais je me suis efforcé comme tu me le demandais de rester relâché, et je t’ai reçu avec cette exaltation que doivent ressentir les filles lorsque, pour la première fois, elles offrent leur chair neuve à l’effraction virile… Peu à peu, pourtant, la douleur s’atténue, faisant place à cette sensation que m’avaient donnée tes doigts tout à l’heure, mais plus forte, l’impression que quelque chose remplit et dilate mon cul, et en même temps la conscience d’être pénétré par un homme et de n’en ressentir aucune honte, mais au contraire un sentiment de fierté et de joie, puisque celui dont la virilité est fichée dans ma chair est le garçon que j’aime d’amour… Tendrement tu t’inquiètes : — Tu n’as pas eu mal, mon chou ? Pour ne pas te peiner, je mens un peu (si peu !) : — Non mon chéri, c’est bon de te sentir en moi… que c’est bon… Fais-moi l’amour… Je suis maintenant bien relâché, tes mains sont posées sur mes hanches, ta virilité puissante va-et-vient en moi, en un mouvement lent et ample où s’exprime ton empire nouveau sur mes sens… Le sentiment de te livrer mon corps ...
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