Une mise en situation réconfortante
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
fff,
fplusag,
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Collègues / Travail
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Résumé de l’épisode précédent : «Questions, espoirs et désillusions » Dans un rêve qu’elle partage avec son inspiratrice, Chantal se vit comme l’assistante d’une formatrice en nouveaux services hôteliers… très spécialisés. Mais les espoirs de plaisirs qu’elle a imaginés se muent assez vite en désillusions pour finir en humiliations. Aline, cette amie lointaine si désirable et qui dirige le stage de ses subordonnées, lui apparaît maintenant comme une manipulatrice perverse. ___________________________ – II – Une mise en situation réconfortante Les lacets de mes baskets me résistent. Pourquoi diable faut-il que les nœuds s’embrouillent toujours quand on veut aller vite ? Je m’échine à les desserrer, mais ce n’est pas facile dans cette position qui m’impose de n’y toucher que du bout des doigts. Je n’ai jamais été très souple – malgré mes efforts – et mes mains effleurent à peine mes pieds quand je suis pliée en avant, jambes tendues. Si je me penche un peu plus, je suis sûre de tomber et d’amuser encore plus l’assistance ! Mon jean rabattu sur les chevilles m’empêche de les écarter pour gagner un minimum d’aisance. Et d’ailleurs ça vaut mieux, ma fente est déjà bien assez exposée ! Mes mouvements dérisoires font tressauter mes fesses tournées vers les filles. Si je me voyais avec leurs yeux, je rirais probablement comme je les entends le faire. Un profond sentiment de solitude me saisit. Je suis prête à implorer à tout prix la permission de m’asseoir pour me débarrasser de mes ...
... derniers vêtements. Mais ta voix retentit tout à coup, impérieuse et glacée : — Ça suffit, Mesdemoiselles ! La récréation est terminée ! Nous sommes suffisamment en retard sur le programme d’aujourd’hui, il est temps de retrouver votre calme et votre professionnalisme. Laisseriez-vous l’une de nos clientes se débattre ainsi sans lui apporter une aide secourable ? Vous êtes payées pour ça, non ? Alors, reprenez-vous ! Douche froide et silence immédiat chez les stagiaires. À leur tour d’être tétanisées. Bien fait pour elles ! Cyrielle est la première à réagir. — Laissez-moi vous aider, Madame, dit-elle en s’empressant à mes pieds pour vaincre mes lacets rétifs. Je me redresse, un peu rassérénée. La petite se débrouille très bien, voilà mes baskets libérées. Je m’appuie sur son épaule pendant qu’elle ôte le premier et dégage ma cheville du paquet fripé mêlant jean et culotte. Pareil pour l’autre pied et adieu cette situation ridicule. Je suis toujours à poil, certes, mais dans le rôle de la « riche vacancière », ce que je trouve beaucoup plus confortable. Je ne suis pas trop certaine de l’attitude à adopter. Dois-je te rejoindre ? Dois-je simplement me retourner ? Je pense un instant à prendre une pose pudique, mais tu as été si cinglante, tout à l’heure, quand j’ai tenté de cacher mes seins et mon pubis que je n’ose pas renouveler mon geste. Tandis que j’hésite, Cyrielle se relève et c’est elle qui, d’une pression sur le bras, m’invite à faire face à la salle. Agréable surprise ...