Une mise en situation réconfortante
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
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... Il faut les mettre en place avant de passer la robe. C’est vrai, le persil sort du panier, comme aurait dit ma grand-mère. J’écarte les cuisses et offre ma fourche à Marie pour qu’elle achève sa tâche. Marie ne cache pas sa gêne en s’exécutant. Elle glisse deux doigts entre l’aine et le tissu pour donner de l’aisance et refoule de l’autre main les mèches rebelles contre ma vulve. Elle s’y reprend à deux fois. Ce n’est pas déplaisant. Elle procède plus sûrement pour l’autre côté. Mon « camel toe » est bien net. Marie se redresse et le contemple, assez satisfaite de son œuvre. Impossible qu’elle n’ait pas remarqué la moiteur, sinon plus, de mon sexe, vestiges de mes émois précédents. Elle n’en montre rien. Pendant qu’elle me passe la robe, je te vois déplier et lisser la culotte que tu lui as réclamée. Tu examines de près le gousset, le tends, le humes même rapidement, avant de t’exclamer : — Mais on dirait bien que, tout à l’heure, le strip-tease forcé de Chantal n’a pas laissé Marie indifférente ! Tu te retournes vers nous en ajoutant : — Un slip trahit les pensées secrètes de celle qui le porte… Marie, ce n’est pas votre avis ? Quelques gamines ne peuvent se retenir de ricaner bêtement. La pauvre Marie est cramoisie. Je voudrais lui dire quelques mots gentils, l’assurer que je ne suis pas fâchée, lui avouer mon côté exhibitionniste, mais déjà nous entendons ta voix dure qui morigène les rieuses. — Pourquoi ces rires stupides ? C’est Marie qui vous amuse ? J’ai bien dit ...
... que je ne voulais pas de remarques en session, non ? Pour vous moquer d’une collègue, en plus ? Eh bien, nous allons voir si vous allez être aussi gaies : la culotte aux chevilles, toutes ! Pas de récrimination, rieuses ou non, toutes et tout de suite ! Patricia, vous êtes la plus ancienne, à vous l’honneur de commencer. J’admire ta maîtrise dans l’art de la douche froide. Tu alternes derechef douceur et dureté. Tu as forcé ma nature en m’humiliant devant tes stagiaires. Ce n’était pas que pour me faire admettre mes désirs refoulés. Tu en as profité pour repérer les tricheuses, celles qui jouaient la complicité servile, celles qui cachaient leurs véritables attirances. Tu t’es servi de moi pour mieux cerner chacune de tes subordonnées, mais tu m’as réconfortée comme tu viens de le faire avec Marie. Quand j’y repense, en effet, ni elle ni Cyrielle n’ont dissimulé leur gêne à l’égard de ma condition du moment. En tout cas, les rieuses sont calmées. Elles se regardent les unes et les autres, puis se tournent d’un même mouvement vers Patricia, déjà debout dans ses pantalons beiges. Un léger sourire résigné flotte sur son visage tandis qu’elle dégrafe la ceinture. Elle lutte pour faire descendre le vêtement sur ses hanches tandis que le ventre, puis le pubis, puis une touffe noire bien soignée. Quand la taille glisse des longues cuisses bronzées aux mollets finement dessinés, la fente de lèvres très brunes se présente sans voile. — Désolée, madame Aline, quand je porte un pantalon ...