1. Un cocu heureux 11


    Datte: 17/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... s’isole avec son partenaire, mais le résultat sera équivalent. Elle va y passer, se faire prendre et jouir. Par chance pour moi, de l’autre côté sur la terrasse, il y a des chaises et une table. L’homme et sa conquête marchent, il plie Léa sur la table. Déjà ses mains tirent sur le maillot, le font descendre sur les genoux. - Lève la jambe, lève l’autre. Te voilà à poil. Tu me plais Il se plaque l’étoffe sur le nez puis la tend pour partager les odeurs du bas. . Tu sens bon.. - Oui, je me parfume. - Tiens ton maillot, pose-le sur la table. Ne crains rien, je serai doux. Creuse ton dos, ouvre tes jambes. Oh ! La belle moule. Tu permets que je te suce ? Oui ? Il vaudrait mieux t’asseoir sur la table et poser tes talons de chaque côté sur une chaise. Tourne-toi. Tu es belle. Si tu es sage je serai ton seul cavalier, Gérard me l’a promis. C’est bien d’avoir changé d’avis. Des deux tu étais ma préférée. J’aime ta pudeur. Ton mari t’a menacée ou tu es amoureuse de moi ? - Les deux. Ou plutôt il a brandi une menace terrible. Si je refusais vous deviez tous m’enculer pendant que lui me baiserait par-dessous. C’est dégoûtant. Mais je ne suis pas amoureuse de toi, excuse ma franchise. Je n’ai pas le choix, c’est tout. - Ton mari est un gros con. Moi je te gâterais, je ferais tout pour toi. Tu es si belle. Je te désire comme un fou. Si tu n’étais pas mariée, je demanderais ta main. Jouez violons, la rengaine n’a pas changé. Il ne court aucun risque d’être pris au mot. Il promet la ...
    ... lune, ça ne lui coûte rien mais ça lui rapporte la soumission de la femme à ses envies. Je sors de l’ombre, me mets dans la lumière de la fenêtre. Je me montre à Léa, lui ne peut pas me voir. Elle m’aperçoit, comprend, m’appelle d’un geste d’une main et en même temps appuie sur la tête de son « cavalier attitré » de l‘autre main. Il va à la source s’abreuver de cyprine, heureux élu d’une si belle coquine. J’approche sans bruit. Je lui attrape les couilles et je serre. Léa lui plaque la gueule sur la table pour étouffer son cri. Je le menace : - Ferme-la ou je serre plus fort. La douleur aiguë le convainc, suffit à lui clouer le bec. Je le pousse vers les marches. - Allez avance. Si tu déconnes, je t’estropie à vie. Je marche derrière lui, courbé, ses affaires toujours coincées entre mes doigts et à intervalles régulier je presse ses testicules afin de lui rappeler le danger couru. Nous l’emmenons dans mon mobil-home, nous le couchons dans la chambre d’enfant sur un lit étroit. Les sangles de ma galerie de toit l’immobilisent, du scotch de réparation de tuyauterie l’aveugle et lui ferme la bouche. Quelques menaces bien senties le font trembler de peur. Il ne sait pas qui, pourquoi, mais il comprend qu’il doit se soumettre, s’il ne veut pas être transformé en eunuque. Un de moins, nous retournons sur la terrasse voisine. Léo discute avec Gérard, trouve trop longue l’absence de sa femme. Léa entrouvre la porte et déclare clairement : - Hé,Léo, Merci, mon amour. Il me rend si ...
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