Un cocu heureux 11
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... heureuse. Laisse moi continuer, s’il te plaît. Ne sois pas jaloux, je pense à toi quand il me baise. Léo lève les bras. Le sort l’accable, mais il fait bonne figure pour récupérer Mylène. Gérard l’interpelle : - Alors, tu es rassuré ? N’est-ce pas ce que tu voulais ? Ne t’inquiète pas. Quand Bruno sera fatigué, je prendrai la relève, ta femme est désirable elle aussi. Nous lui passerons tous dessus. Ta femme le mérite. Il fait trop chaud, la pauvre Mylène transpire; j’ouvre une fenêtre. Léa tend l’oreille et se mord les doigts : Léo revendique assez fort. - Mon Dieu, Léo a demandé ma punition, ils vont tous me baiser et à la fin ils m’enculeront en double pénétration . C’est horrible, je ne veux pas. Léo devient fou. Sauvons-nous ! Je la calme. Je reprends ma planque et je lui donne une consigne. -Si quelqu’un vient, dit que Bruno est amoureux de toi, mais qu‘il n‘a pas tenu le coup et qu‘il est parti te chercher un cadeau. Il a promis de revenir. Ne t’affole pas, je te protège. Alignés sur le canapé, Gérard au centre, Léo d’un coté et un grand moustachu de l’autre, trois compagnons reçoivent les bons soins de Mylène à genoux sur un matelas, à leurs pieds. Elle va de l’un à l’autre, pour une fellation ou pour une masturbation travaille de la bouche et des mains. Elle est en partie cachée par le dernier homme. Celui-ci est aussi agenouillé derrière elle et cherche à placer son dard dans la vulve par derrière. C’est un maladroit, le con est ramolli mais bée. Ah ! Il a trouvé ...
... et donne des coups de cul pour pénétrer plus avant. Mylène glisse vers Léo, l’autre perd le contact, se relève et fait signe au moustachu. Celui-là prend sa place, donne un coup de rein. Mylène gémit, voudrait voir qui la pourfend ainsi. Mais Léo d’une main ferme la maintient à son poste, narines dans les poils de son pubis. Le membre de Léo étouffe ses plaintes. Le moustachu est solide, régulier. Il pompe, pousse, plonge, ramone, puise des forces dans les plaintes de ma femme. C’est un endurant. Il met un temps incroyable avant de s’immobiliser et déclare, fier de l’exploit : -Tiens, prends ça, prends ça, encore. A qui le tour ? Gérard le remplace , développe longuement ses élans, la fait crier et cède la place à Léo. Elle a ensuite la chance de pouvoir s’étendre pour recevoir entre ses cuisses les trois mêmes successivement. Les positions changent, les gémissements sous l’un ressemblent aux plaintes amoureuses émises sous le précédent . C’est une course inégale, Mylène est seule contre trois mâles vigoureux. De plus ils rivalisent, Léo voudrait l’emporter, la marquer et s‘imposer définitivement à sa collègue, Gérard veut conserver l’avantage du premier amant et le grand moustachu, Serge je crois, ne veut pas s’en laisser conter en matière de baise. C’est une compétition entre des mâles qui se servent d’une femelle pour s’affronter. Entre deux assauts elle s’est assise pour reprendre son souffle. De face elle est méconnaissable : son maquillage fond et coule, la sueur délaie ...