1. À Pigalle


    Datte: 17/08/2018, Catégories: fh, hplusag, couple, cadeau, grossexe, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, préservati, pénétratio, double, fsodo, jouet, journal,

    ... peux, c’est ça qu’il aime mon homme, une friction intense sur toute la longueur de sa queue et essayer de buter sur le fond de mon vagin. Il continue de me tringler à grands coups de bassin et, profitant de ma cambrure, m’introduit en prime, un pouce lubrifié de salive dans l’anus. La vague qui ne m’avait pas réellement quittée déferle à nouveau. Traversée par des spasmes qui s’enchaînent les uns aux autres, mes cris deviennent des cris d’agonie. Je ne sais plus où j’en suis, si je jouis, si je viens de jouir ou si vais encore jouir. Tout s’arrête quand Pierre au bord de l’explosion se retire d’un coup. Je m’essuie le visage dans les draps, je rouvre les yeux, le pieu de mon homme se dresse encore vertical alors que la trompe d’éléphant du mec pendouille lamentablement. — C’est beau d’être jeune, commente le papy.— Gilbert, je ne vais pas vous laisser partir sans vous montrer qu’elle aime tout autant se faire enculer, annonce mon charmant époux. Vous pouvez me passer le tube de lubrifiant ? Je m’y attendais. Instant redouté ? Plus maintenant ! À vrai dire, il n’a pas tort, j’aime la sodomie ou plutôt, j’ai appris à aimer. Pierre s’allonge, le dos sur le lit, me fait signe de venir sur lui. Merci chéri de me laisser diriger les opérations. Je m’agenouille sur son bas-ventre en lui tournant le dos car je veux garder un œil prudent sur le dénommé Gilbert qui ne perd pas une miette du spectacle. Mon chéri me barbouille l’anus de gel, et positionne son pénis bien vertical. Je ...
    ... me contorsionne pour le mettre pile poil sur ma petite entrée. Je n’ai plus qu’à me laisser descendre. Millimètre par millimètre. Je sens mon anus se dilater, j’ondule un peu des fesses, je me décontracte… Gel aidant, mes sphincters ne résistent pas à mon poids. Le gland de mon chéri me perfore d’un coup, je me mors les lèvres en gémissant car même si c’est très loin d’être la première fois, la sensation est toujours aussi intense. — Gilbert, demain vous risquez de peiner, prévient mon chéri avec sollicitude. Elle a beau se faire enculer par tous ses clients, elle reste très étroite. Vous ne serez pas déçu. Je descends lentement savourant la sensation délicieuse du pénis qui se fraye un chemin dans mon étroit conduit. Arrivée en contact avec son pubis, il me fait basculer en arrière. Je me retrouve en appui sur les mains, lui dessous, moi dessus, face au Branleur, jambes écartées, genoux pliés, les seins durcis, embrochée profondément par l’anus mais le vagin libre, entrebâillé et luisant de mouille. Un appel a la double pénétration. Je pète les plombs. « Mais viens me la mettre, ta grosse bite, ma chatte n’attend que ça, mets une capote et viens, qu’est-ce que tu attends… Mon chéri semble d’accord. » J’assume. Sous mon vernis de femme fidèle et sentimentale, cachée sous ma perruque, je suis une pute, la reine des putes, une salope de chez salope. À ma décharge tout concourt à me rendre folle : l’ambiance de l’hôtel de passe, les cris, les ahanements, les grincements de lits ...
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