Liaison interdite
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
ff,
fplusag,
alliance,
amour,
fsoumise,
init,
... Jennifer est encore plus belle et désirable. Un vrai corps de femme alors que son visage doux aux traits puérils lui donne des airs de jeune fille effarouchée. Le ventre traversé de brûlants élancements, Christelle décide de reculer avant d’être aperçue. Inutile de tenter le diable et de se faire du mal pour rien. Cette superbe jeune femme qu’elle désire brusquement est la compagne de son fils, donc intouchable. Inaccessible… Dans un état second, elle regagne sa chambre. La voix de Jennifer qui lui parvient la sort de sa torpeur. — Tu m’as trouvé des vêtements ?— Oui… Enfin, non. Prends une grande serviette pour l’instant…— D’accord… Timidement, Jennifer entre lentement dans la chambre. Elle est craquante dans une longue serviette blanche, encore plus excitante. Christelle en reste figée. Le désir éclate soudain en elle, violent à lui faire mal. La savoir littéralement nue dessous enflamme son désir de plusieurs degrés. Un désir presque insupportable… Jennifer, comme gênée de cet examen muet, se passe les mains dans les cheveux, les repoussant en arrière d’un geste nerveux. Ce simple geste fait glisser la serviette sur sa peau nue, laissant deviner avec quelle arrogance se dresse la pointe de ses seins haut placés. — Viens t’asseoir à côté de moi. Jennifer hésite avant de s’exécuter. Elle sent brusquement une tension presque palpable, et cela la déstabilise. Sa belle-mère a changé. Sa façon de la regarder, son comportement, tout est différent. Les paroles qui suivent ne ...
... sont pas faites pour la rassurer. — Jenny, tu es superbe. Voix rauque, regard trouble… Jennifer ne comprend pas. — Merci. Puis avec précipitation : — J’aimerais m’habiller à présent. J’ai un peu froid…— Tu plaisantes, il fait très bon.— Oui, peut-être… Mais je ne suis pas très à l’aise en petite tenue. Je suis assez pudique.— Pudique ? Avec un corps comme le tien ? Tu plaisantes, j’espère…— Non. Jennifer n’ose pas la regarder en face. Elle baisse les yeux, terriblement nerveuse. — Jenny, un corps comme le tien, c’est un don du Ciel. Il faut le mettre en valeur, le montrer avec fierté. Et, sans l’avertir, lui fait glisser la serviette sur ses épaules. Le premier réflexe de Jennifer est d’avancer ses mains pour l’empêcher de continuer, mais Christelle lui saisit les bras avec fermeté. — Laisse-toi faire. Jennifer se crispe, croisant les bras sur sa poitrine en tremblant comme une feuille. — Laisse-toi faire, insiste Christelle sur un ton plus ferme. Jennifer laisse alors retomber lentement ses bras le long du corps, docile… L’autorité de cette femme la laisse sans force, elle se sent encore trop affaiblie pour lui résister. Christelle écarte d’une main fébrile les pans de la serviette ; la tenue de bain glisse sur des épaules dorées, dévoilant la troublante nudité d’un petit sein pointu. Elle finit son geste en tremblant brusquement. Les seins sont parfaits, accrochés haut, tendres et délicats avec leur pointe érigée qui ressemble à un petit bouton de rose. Ils sont si attirants ...