Pour la Saint-Valentin
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couplus,
Collègues / Travail
essayage,
BDSM / Fétichisme
préservati,
échange,
journal,
... en dévoilant leurs charmes. Les garçons mettraient la blonde qui est en face de moi au défi d’y aller : — Pas cap ! Elle irait, se déhancherait au son d’une musique qui se voudrait lascive. Ôterait son t-shirt et son soutif noir, laisserait tomber sa jupe. L’animateur demanderait s’il peut toucher et sans attendre l’autorisation palperait seins et fesses. Puis annoncerait que pour une seconde bouteille de champagne, il faut enlever aussi la culotte ou le string. La blonde regarderait son copain et se mettrait toute nue, un projecteur éclairant alors violemment sa chatte. Poilue ou épilée ? La mienne est épilée, à la demande d’Olivier. Elle a plu aux spectateurs, un jour de juillet, il y a quelques années, quand j’ai gagné les deux bouteilles d’un mauvais champagne. L’animateur aurait bien voulu coucher avec moi, ensuite, mais ses grosses mains poilues sur mes seins et ma chatte ne m’avaient pas donné envie de lui. Plaira-t-elle à Julien, ma chatte ? Il ne sera pas surpris de ne pas y trouver de toison, son doigt le lui a fait comprendre tout à l’heure. Un des garçons veut danser avec moi. Pourquoi pas ? Julien ira bien avec une des filles. On se trémousse, puis vient un slow. Julien est resté à notre table, tout seul. Le garçon me serre de près, me touche les fesses, veut même m’embrasser. Je le repousse. J’ai trop peur que Julien s’en aille. Je le rejoins. Il me reproche d’avoir dansé avec ce type. Je tente de me justifier : — Je pensais que tu danserais avec une des ...
... filles. Il hausse les épaules. — Bien sûr que non ! Aïe, il va falloir faire attention. Sera jaloux et possessif, lui aussi, Julien… Encore un slow, la lumière se fait parcimonieuse. — Partons, Julien. Je pose dans la Clio une main de propriétaire sur son bas-ventre. Il ne bande pas ! Je démarre. J’arrête la voiture devant notre 18 de la rue Sainte-Opportune. — Viens, Julien.— Mais… ton mari ?— D’abord, ce n’est pas mon mari.— Mais c’est tout comme, non ?— Olivier ne viendra pas ici ce soir. Nous prenons l’ascenseur. Julien ne tente pas de m’embrasser. Nous entrons. Je lui montre le canapé. Je m’y assieds à côté de lui. J’appuie la tête sur son épaule. — Je suis si bien, avec toi, Julien. Il avale sa salive. — Moi aussi, je suis bien, Sophie, mais…. Je déboutonne un peu sa chemise et caresse sa poitrine. Ses petits tétons roulent sous mes doigts. Qu’est-ce qu’il attend pour s’occuper des miens ? Voilà, il s’y met enfin, après avoir écarté les pans de mon corsage. Puis vient un baiser fort agréable, poitrine nue contre poitrine nue. Nous voilà dans la chambre. Les draps sont propres, je les ai changés ce matin. J’ai enlevé les lanières bleues qui permettent à Olivier de me clouer parfois sur le lit, écartelée et aveuglée, à la disposition d’amateurs de passage, comme il dit. Mais il n’en fait jamais venir. Julien n’en finit pas de se déshabiller. Je comprends pourquoi. Il ne bande pas. Ça leur arrive. Ce n’est pas grave. — Viens avec moi sous la douche, Julien. Il est nu et flasque. ...