1. Pour la Saint-Valentin


    Datte: 17/08/2018, Catégories: fh, 2couples, hplusag, fplusag, jeunes, couplus, Collègues / Travail essayage, BDSM / Fétichisme préservati, échange, journal,

    ... Je vais y mettre bon ordre. Le jet contre sa poitrine que je savonne. Puis vient le tour de ses couilles et de sa bite que j’ai plaisir à savonner également, à prendre en mains puis en bouche. Voilà, il bande. Je lui tends une serviette de toilette. Nous sommes vite secs. Pas moi, dans ma chatte. Direction le lit. Julien n’a pas de préservatif. Il y en a ici, Olivier prévoit toujours tout. — Tiens, mets donc ça, Julien. Il m’obéit. Je suis allongée sur le dos, j’attends son bon plaisir. Il caresse mes seins, y porte les lèvres. Puis écarte des doigts les lèvres de ma chatte et entre en moi sans autre forme de procès. Il jouit très vite, trop vite. Il va falloir remettre ça, mais nous avons tout le temps, toute la nuit. Non. Il faut qu’il rejoigne Chloé. Bien sûr.Post coïtum animal triste ? Avec Olivier, ça se passe mieux. — Tu as bien un peu de temps encore ?— Pas vraiment…— Bon. Je te raccompagne.— Non, ne te dérange pas, ma chambre n’est pas bien loin. Il va retrouver sa Chloé, grand bien lui fasse ! Olivier ne viendra que demain, avec sur lui l’odeur de la rouquine. La mienne sur Julien alarmera peut-être Chloé, s’il la réveille. À moins qu’il prenne une autre douche. Samedi, Olivier, qui rentre peu avant midi : — Alors ?— Bof ! Et toi ?— Bof ! Mais raconte. Je raconte. Il rit : — Tu n’as pas joui ?— Pas du tout.— Ma pauvre chérie ! Mais toute seule, après ?— Même pas ! Tu me manquais.— Toi aussi, tu me manquais. C’est toi que je préfère, quand même.— Ah bon, quand même ...
    ... ! Encore heureux ! Mais tu veux quand même Chloé, et ce sera difficile. Moi, avec Julien c’est fini, tu comprends.— Réfléchissons. Il faut qu’il voie ce qu’il risque de perdre. Tenue encore plus sexy, regards tristes, soupirs de déception. Affole-le, mais sans rien lui accorder… Il te plaît, ce garçon, n’est-ce pas ?— Je ne le hais point.— J’en étais sûr ! Dimanche tout à fait satisfaisant, Olivier et moi nous passons des heures délicieuses au lit. Bien que nous n’en utilisions pas entre nous, évidemment, il a vérifié qu’il manquait un préservatif. Il pourrait me faire confiance. Moi je ne doute jamais de lui. Me prendrait-il pour une faible femme ? Ce matin au bureau, j’ai encore ma jupe fendue et pas de soutif. Julien : — Sophie, je sais que je n’ai pas été à la hauteur, vendredi soir. Excuse-moi.— Tu es tout excusé. Comment se sont passées tes retrouvailles avec Chloé ?— Pas terribles.— Tu lui as fait l’amour ?— Non. Pas envie d’elle.— Ah !— De toute façon…— Oui ?— Elle n’est pas très portée sur la chose. Je ris : — Elle est frigide ?— Je crois… Un peu. Mauvaise langue, va ! Quand on ne sait pas s’en servir… Ce garçon fait l’impasse sur les préliminaires, il a grand tort. Chloé appréciera Olivier. Julien croit devoir se justifier : — Vendredi, j’avais peur que ton… qu’Olivier arrive tout à coup. Et faire l’amour dans son lit…— Oui. Complice d’un adultère commis dans le pucier conjugal, ça te gênait, je comprends ça. J’aurais dû t’emmener dans la chambre d’amis… J’aimerais ...
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