Le secret de Judith (8)
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
Erotique,
... collines martyres qui me regardent, sublimes… Je sors ma langue… et commence à lécher, une par une, les plaies laissées par la cravache… je sens les sillons à vif sur ma langue, les enduis de ma salive, les embaume, les apaise… L’odeur de son cul, de son con, m’envahit… Ma langue délaisse bientôt ses tertres meurtris pour plonger dans sa vallée fertile… Je lèche son anus, son sillon… depuis sa fente jusqu’au creux de ses reins… je recommence, sans cesse… puis je m’attarde sur sa rondelle rosée. Je tourne, tourne, et je m’enfonce doucement… son odeur de femme... je m’enfonce encore... je me régale de son trou du cul… entièrement, profondément… Elle se tortille sur ma langue… gémit sans arrêt… essaie de m’avaler tout entier au creux de ses entrailles… Je me redresse. Je la saisis par les épaules et la relève brusquement contre moi. Je tiens ses seins en tenaille dans mes paumes… je les serre, les écrase, pince ses tétons…. Je lui mords l’épaule, le cou, l’oreille… - Petite chienne…. Tu veux que je défonce le fion ! Tu veux ma grosse bite dans ton petit cul ! Tu veux que je t’éclate le fion comme ce connard de Mike ! - Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Punis-moi ! - Salope ! Je la propulse à nouveau à genoux. J’écarte ses fesses et approche de son trou mon dard prêt à éclater. Je la pénètre d’une traite, jusqu’à la garde. Elle crie, elle gémit…. ******** Jean me pilonne le cul. Il est en moi, me prend sans aucun ménagement. Il me fait mal ! C’est ce que je veux. Je ...
... suis sa chienne, sa salope… La jouissance monte…. Je dégouline… mes cuisses sont trempées… Chaque coup sur mes fesses, sur mes plaies à vif… Hmmmmm… Je sens son sexe plus gros que jamais… Il aime ça lui aussi ! Oui Jean, baise-moi comme ça, comme la petite garce que je suis. Punis-moi !!! Ses coups de hanche me déboitent les vertèbres… Sa bite s’enfonce toujours plus profond… mon trou est éclaté, déchiré… Je crie, sans arrêt, je tremble, je jouis, l’orgasme monte, me saisit, me transperce… violent ! Comme un éclair qui me foudroie…. Je jouis, je râle… Mais Jean ne s’arrête pas ! Il continue de me défoncer l’arrière-train, l’anus, les entrailles…. J’ai mal ! Mal !!! Il poursuit, de plus en plus vite… Je n’en peux plus, c’est impossible… Il frappe mes fesses de sa main droite… Mes plaies !!!! J’ai mal !!!! Je pleure… Je gémis… crie… crie…. Je jouis… je jouis à nouveau… je tremble…. l’orgasme est lent… il se répand en moi, me prend toute entière… Enfin je sens Jean qui éjacule, se tend, se tend ! Ses mains se crispent et m’arrachent la peau des hanches…. Il donne de grands coups, dans mon fondement, à chaque giclée… Il se vide. Il n’en finit plus. Je déborde, son foutre coule entre mes fesses, sur mes lèvres, mes cuisses…. Enfin il s’arrête… s’affale sur moi… Nous sommes nus, sur la terre de ce bosquet…. Le bruit du torrent nous entoure… Sa fraicheur… Nous sommes couverts de sueur, de sperme, de cyprine, de sang… - Je t’aime Jean. Je t’aime à la folie. (à suivre)