Don Booth et la théière disparue
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
h,
fh,
fff,
fffh,
couple,
bizarre,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
humour,
policier,
L’un des auteurs publiant habituellement sur ce site m’a mis un jour au défi d’écrire une histoire se déroulant dans son univers. Il m’a fallu du temps pour m’y mettre, mais j’ai fini par accoucher de quelque chose. Ce n’est peut-être pas le résultat auquel cet éminent confrère s’attendait, l’avenir nous le dira… 😊 L’Europe, c’est naze ! Voilà ce que je n’arrêtais pas de me dire depuis que nous étions descendus d’avion Karen et moi à peine deux heures plus tôt… Sérieusement, qu’est-ce qu’ils ont que nous n’avons pas chez nous dans notre bonne vieille Amérique ? Les hamburgers à plus de 1000 calories, les cow-boys, Marlboro, le Superbowl, le bourbon, Hollywood, le Texas, Bill Clinton… je pourrais encore citer tout un tas de trucs super cools qu’on ne trouvait que chez nous. C’était Karen qui m’avait traînée ici, bien évidemment. À peine quelques jours plus tôt, j’étais vautré dans mon fauteuil favori. Je regardais les Bulls mettre la pâtée à ces andouilles de Cleveland en sirotant de la bière. J’avais à peine entamé ma quatrième bouteille que Karen avait fait irruption en tenant une lettre. Il lui avait fallu près de dix minutes d’un babillage surexcité pour réussir à m’expliquer qu’elle avait gagné le premier prix à un jeu organisé par sa marque de tampons hygiéniques. Pour une fois que ses règles servaient à quelque chose… Un séjour tous frais payés en Europe, elle était contente et du coup, j’étais content pour elle. C’était pour deux personnes et elle voulait ...
... m’emmener, j’étais tout de suite un peu moins ravi. Mais Karen avait eu le dernier mot, bien évidemment. Nous avions atterri en début d’après-midi, sous une pluie battante, finalement ça ne changeait pas trop de notre bonne vieille ville de Chicago. Nous devions séjourner dans un hôtel luxueux, j’espérais que le terme « luxueux » indiquait que le mini bar serait bien rempli et que je pourrais regarder Playboy TV. Une fille prénommée Aurélie était venue nous attendre à l’aéroport. C’était une employée de l’hôtel. J’avais frémi lorsqu’elle avait dit qu’elle était à notre entière disposition : vu le châssis de la belle, je m’étais mis à imaginer certaines choses, mais le coup de pied que ma charmante assistante m’avait décoché dans le tibia m’avait vite fait redescendre sur terre. À croire que Karen devenait jalouse… étrange tout cela, il faudrait que je creuse un peu la question. Aurélie nous avait fait monter dans un gigantesque 4x4 et nous avions pris la direction de l’autoroute, puis elle nous avait emmenés sur une petite route de campagne si embrumée que je n’aurais peut-être même pas vu ma queue si j’avais voulu m’arrêter pisser contre un arbre. Karen s’était installée à l’avant avec Aurélie et les deux filles discutaient déjà comme si elles étaient de vieilles amies. Je me sentais un peu mis à l’écart, j’entendais à peine la conversation. Mais c’est là que les choses commencèrent à prendre une tournure vraiment bizarre : — Attendez, m’écriais-je, vous pouvez répéter ?— Nous ...