Don Booth et la théière disparue - Histoires de Sexe

Don Booth et la théière disparue

... contentant de regarder ses seins ronds et lourds couverts de mousse qui dépassaient du niveau de l’eau. Je me mis à déboutonner mon froc. — Euh… Don ? T’as une drôle de tête… T’es sûr que tout va bien ? Je ne répondis toujours rien, j’étais comme fasciné par le corps de la belle, ce corps nu, attirant, trempé, agréablement parfumé par les sels de bain, à moitié recouvert d’une mousse pas toujours très pudique. La bite à l’air, tendue à l’extrême, je pénétrai dans la baignoire, glissant et m’étalant à moitié dans la flotte. — Merde, Don, t’es dingue ! T’as encore picolé de cet alcool frelaté bizarre que t’expédie ton pote de l’Alabama ? Mais regarde ! Tu fous de l’eau partout ! Pis, tu m’écrases ! L’écraser ? Oh que oui, bonne idée ! Je me couchai sur elle, lui écartant les cuisses. Mon gland, comme doté d’une volonté propre, tâtonna entre ses jambes pour essayer de trouver sa fente. — Bon, allez, ça suffit maintenant ! Si tu veux baiser, alors on fait ça bien ! Ailleurs que dans un bain qui refroidit et sans me foutre du savon plein les yeux ! Elle me repoussa, se leva, le corps nu à moitié couvert de mousse, et je la regardai avec avidité. Je sortis derrière elle, et bon sang, j’aurais pu la suivre jusqu’en enfer tellement j’étais excité ! Elle me guida jusqu’au lit où nous nous écroulâmes sans nous soucier de l’eau qui se répandait de nos corps sur les draps. — Maintenant, je peux ? demandai-je dans un râle.— Hum… Je sais pas, répondit-elle en me lançant un sourire ...

... narquois. Je la fusillai du regard, la bite raide et la bave aux lèvres. — Allez, viens, finit-elle par ajouter après avoir fait durer le suspense. Je ne me fis pas prier, on peut s’en douter. En poussant un cri à faire pâlir d’envie un yodler tyrolien, je me jetai sur son corps nu encore humide et m’empalai en elle d’un seul coup. — Mais pas si vite Don, tu vas encore jouir en deux minutes ! Ça, elle aurait pu éviter ! Mais j’étais tellement excité que je ne pouvais me retenir. Je me mis à la pistonner comme un forcené qui sortirait de prison au bout de vingt ans. Le lit était d’une qualité supérieure, mais pourtant il gémissait sous mes coups de boutoir. — Tu sais Don, me disait Karen sur le ton d’une conversation totalement normale, j’ai lu un jour sur un blog de psychologie que le décalage horaire pouvait avoir un impact sur la libido. Ce serait pas ça qui serait la cause de tout cela ? Je marmonnai un grognement un peu plus fort tout en continuant à lui défoncer l’intimité. J’étais Rambo en plein effort, dérouillant des centaines d’ennemis ; j’étais Michael Douglas dans Basic Instinct… — Et puis bon, le décalage horaire n’est pas la seule cause, il y a aussi le voyage en avion. C’est sûr qu’être assis aussi longtemps, puis se relever et se mettre à marcher dans la campagne européenne doit avoir un impact certain sur la circulation sanguine ! Je grognai de nouveau. J’étais Rocco Siffredi en train de passer en revue la liste de mes partenaires ; j’étais Conan le Barbare, l’épée ...