Don Booth et la théière disparue
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
h,
fh,
fff,
fffh,
couple,
bizarre,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
humour,
policier,
... moi ou quoi ?— Attendez, dis-je. Sauyères, voulez-vous approcher un peu votre torche ? Et alors que le Canadien éclairait mieux la zone, nous pûmes voir de plus près toute cette affaire. — Mais… C’est la théière ! cria Agathe.— Posée près de ses fesses, comme il le disait, ajouta Joe.— Mais il est aussi à poil que nous, s’exclama Agathe de plus belle en constatant que Labitemba était effectivement nu comme un ver.— Mais il a une queue énorme, ajouta Karen. Bon, c’est clair que plus Sauyères approchait sa torche et plus on constatait que Labitemba avait un organe monstrueux. Mais ça n’expliquait pas tout, et je sentais que la vérité était proche. Agathe ramassa la théière convoitée et la tint serrée contre sa poitrine nue pendant que Sauyères reprenait : — Bon, je voudrais bien comprendre deux ou trois choses !— Moi aussi, ajouta Joe. Comment ce Monsieur Labitemba est arrivé ici, aussi nu que les quatre autres ?— Monsieur Labitemba ne porte jamais de vêtements, précisa Aurélie.— Même sur scène durant les concerts de Lenny Kravitz ?— Oui, regardez bien les vidéos sur YouTube, la guitare cache son intimité.— Mouais, OK, passons, dit Sauyères, mais pourquoi est-il dans ces souterrains ?— L’homme a cherché, l’homme a trouvé, l’homme est tombé !— Lui aussi, quelqu’un l’a balancé ici, commenta Agathe.— Mais quand ? demandai-je.— Vous avez raison, dit Aurélie, Monsieur Labitemba a disparu avant que vous n’arriviez. Il était le premier d’entre vous à être arrivé, et il s’est ...
... volatilisé.— Il a trouvé la théière avant que les autres détectives n’arrivent, et il a été balancé dans ces oubliettes !— Mais comment pouvait-il chercher la théière ? On nous a lancé sur cette histoire seulement lors du repas et il avait déjà disparu !— S’il est devin, il a dû comprendre avant qu’on nous le dise…— L’un des domestiques est forcément dans le coup, dis-je. Personne d’autre n’était là ! Mais Karen, enfin !— Je ne peux pas laisser ça, répondit-elle en prenant en main la bite énorme de Labitemba.— Elle a raison, ajouta Agathe, elle doit bien faire trente-cinq centimètres. Un tel monstre se refuse difficilement. Je suis curieuse…— Eh bien, laissez-moi cette théière et sucez cette queue, dit Sauyères.— Pourquoi je vous la laisserais ? J’ai payé de ma personne, je vous signale !— Et moi, j’ai fourni la torche ! Il marquait un point ! Du coin de l’œil, je voyais Karen qui essayait de prendre en bouche l’énorme bazar de Labitemba, avec pas mal de difficultés… — Je me permets de préciser que sans mon action, nous n’aurions pas découvert le souterrain, dis-je avec une pointe de fierté.— Et sans moi, vous… essaya d’ajouter Joe l’Indien avant de s’apercevoir qu’il n’avait servi à rien dans cette affaire et de fermer sa bouche.— Trouver la théière est une chose, intervint Aurélie. Trouver le coupable du vol en est une autre.— Celui qui prend du plaisir relâche sa concentration, dit Labitemba.— Il veut dire que le coupable est un jouisseur, commenta Sauyères.— Non, il veut juste ...