Guilaine
Datte: 19/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... plaisir en elle. Anne-Laure commençait à manifester de plus en plus bruyamment sa satisfaction : - « Ouiiii ! Ouiii ! continue, continue, tu m’excites… »Me disait-elle. - « Prends-moi maintenant ! » Sembla lui répondre Guilaine à destination de Fred. Celui-ci ne se fit pas prier et plaquant Guilaine contre la paroi prit sa jambe droite. Après l’avoir soulevée il la pénétra brusquement. Surprise par la violence de cet assaut, elle se mit à planter ses doigts dans le cou de mon collègue et l’embrassa à pleine bouche. Le bassin de l’étalon ondula quelques minutes à un rythme infernal. Le corps voluptueux de Guilaine était traversé d’ondes violentes à chaque coup de reins. Ses fesses rebondies claquaient contre le carrelage. Dans un grand cri elle jouit une fois, puis deux, alors que Fred s’escrimait toujours en elle. Elle lui demanda grâce et pris de pitié il se retira. Reprenant son souffle, il pencha d’autorité comme pour la casser en deux. Plus petite que lui, elle dût se mettre sur la pointe des pieds pour le laisser la sodomiser. Guilaine encore sous le choc de ses deux orgasmes successifs, n’émit qu’une faible protestation, bien vite remplacée par des mots crus, qui disaient son plaisir : - « Vas-y, salaud ! défonce moi avec ta grosse bite, encule moi fort, vas-y ! » Sous l’eau chaude de la douche, leurs corps luisaient dans un halo de vapeur qui envahissait toute la salle de bains. Anne-Laure captivée par cette scène torride profitait de mes coups de langue tout en se ...
... caressant le clitoris. Ses doigts s’agitaient de plus en plus vite en même temps que je la léchais. Emportée à son tour par le plaisir, elle jouit en me fixant, les yeux perdus dans je ne sais quelle dimension. De mon côté, je n’avais rien perdu de mon entrain et je n’eus guère d’effort à faire pour la prendre profondément. Penchée les mains posées sur le bord de la baignoire, courbée en avant je commençais par aller et venir lentement pour lui permettre de sentir chaque millimètre de mon sexe. Entre chaque gémissement elle m’encourageait en me donnant ses envies : - « Prends-moi par la taille et serre moi fort » Je sentais sous mes mains ses muscles se crisper au fur et à mesure que je m’empalais en elle. Excité comme un fou, je me transformais en marteau pilon. Ahanant comme un bœuf, je la prenais sans ménagement et elle en redemandait. - « Encore, encore, encore,… » L’attirant vers moi tout en m’enfonçant en elle, je lui arrachais un orgasme d’une violence inouïe, qui provoqua le mien. Je sentis son sexe se serrer autour de ma bite, m’emprisonnant d’un étau délicieux. Je me vidais en longs jets de sperme brûlants avant de me retirer tout doucement. Epuisé et heureux, les mains sur les hanches, je reprenais mon souffle tout comme Anne-Laure. De son sexe béant, coulait un filet de mon sperme. Tout à notre affaire nous avions oublié nos partenaires qui, eux aussi, reprenaient leurs esprits. Ils sortirent de la douche et s’enveloppèrent dans les serviettes de bain. Nous prîmes ...