-
Séduction délicate de la soeur de ma mère (22)
Datte: 19/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... Zusu fils. Sans être un génie, j’avais trouvé la solution pour ma tante. L’idée de partir à Tokyo s’étant envolée, alors quoi de plus naturel pour ses enfants que le fait de se rapprocher de leur Papa parti au Nord de l’Allemagne ? Ainsi Véro aurait toute légitimité pour me rejoindre, assurant par la même occasion le bien-être de ses enfants à Hambourg auprès de leur père. Zusu fils me fit part de la création d’un nouveau poste d’assistante de direction et je lui glissai que ma tante serait la candidate par excellence. Il comprit où je voulais en venir en sous entendant que cela ne poserait pas de problème. Véro accoucha d’un beau petit garçon peu avant Noël. Son texto fut sensationnel - Ton fils te réclame comme sa Maman qui t’embrasse amoureusement -. En l’honneur de mon départ Zusu père m’invita à diner avec son fils. Il n’y alla pas par quatre chemins en me suggérant que j’avais les épaules nécessaires pour devenir le boss export du continent européen. — Monsieur Zusu, je ne vous décevrais pas et permettez-moi de vous dire que Ken, ici présent est devenu un homme. — C’est votre tante qu’il faut remercier. Cette femme délicieuse la décoinçait comme il le fallait et à chasser ses vieux démons de sa mère défunte. Me confia-t-il devant Ken penaud. — Ken je te souhaite le meilleur avec ta future épouse. — Merci infiniment Patrick et toi devenir un formidable Papa ! En s’exprimant dans un français approximatif du fait de l’émotion provoquée par les propos de son père. — ...
... C’est une vieille histoire et mangeons ! Conclut Zusu père. Le 6 de retour à Paris, ma mère sauta de joie pour m’accueillir. Elle me posa un tas de questions concernant mon futur job sur le chemin du retour et je répondis, répondis encore et encore. Peu à peu au gré de la conversation elle me fit miroiter une petite surprise sur le palier de l’entrée. — Tu es bien le parrain de ton dernier cousin ? Dit-elle en se retournant avant de donner un tour de clef. Le temps de comprendre que ledit cousin était mon propre fils, elle ouvrit la porte. Véro était là avec le petit dans les bras. Je n’eus qu’une idée, le prendre et serrer ma tante contre moi. Ce ne fut qu’une idée. — Oh qu’il est beau ! M’exclamai-je sans une euphorie compatible avec celle d’un père. — C’est ton filleul, prends-le. Me dit simplement Véronique, superbe dans un jeans moulant. — Eh il est aussi beau que sa Maman ! Mais où sont les garçons ? — Ils sont restés à Bordeaux chez une amie Alice, je crois te l’avoir présentée un soir chez Patricia. Répondit-elle les yeux aux larmes de me voir. Ma mère ne s’en aperçut pas et le temps de déposer mes affaires dans ma chambre ma tante m’emboîta le pas pour coucher le petit. Nous nous retrouvâmes dans ma chambre en nous serrant l’un contre l’autre tendrement. — Tu m’as fait un beau bébé ! Plus de trois mois sans te voir, c’était une éternité. — Oui tu m’as manquée terriblement, bon il faut redescendre. Je reste juste deux jours et après je repars à Bordeaux. En me souriant ...