1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (22)


    Datte: 19/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... faussement désabusé pour la suivre. Ma tante dans sa précipitation en avait oublié de resserrer sa robe de chambre. En ouvrant la porte de l’armoire, elle ne se rendit pas compte qu’elle avait pratiquement la poitrine à l’air libre. — Patrick c’est génial ! Tu es un type génial ! Je revis avec toi ! S’exclama-t-elle pour venir m’enlacer. — On est encore minuté, enlève voir ta chemise de nuit que je voie un peu tes formes ? En prenant du recul avec sa ceinture dans la main. — J’ai des kilos en trop de toute façon. Dit-elle en entre-ouvrant timidement sa chemise. — Ouah Tatie ! Tu me diras où ils sont ? T’es toujours aussi superbe. La flattai-je alors que mon sexe cria, hurla au scandale dans la pièce sans être entendu. — Tu es gentil mais tu sais donc que ça me gêne de me mettre nue devant toi et puis ça fait si longtemps, j’ai perdu l’habitude… En refermant sa tenue, les jambes serrées. — Je comprends, prends le tailleur beige il t’ira très bien et ce soir pas de folie, il te faut un peu de temps je crois. En passant ma main sous son menton. — Euh oui si tu le dis… Murmura-t-elle presque déçue par ma suggestion. Au repas du soir ma mère s’empressa de narrer à mon père les bonnes nouvelles concernant sa sœur. Puis dans une ambiance bon enfant chacun prit ses quartiers. Après un dernier petit câlin à mon fils, mon vieux lit d’ado me tendit les bras avec le réverbère qui me fit de l’œil pour toute la nuit. Néanmoins je reçus un texto aux alentours de minuit : - on dort à ...
    ... quelques mères et j’ai une folle envie d’être dans tes bras, viens si tu veux -. Une fois encore l’envie folle fut de loin âprement partagée mais nullement envisagée d’être consommée : - trop risqué, demain soir nous dînons et dormons à l’hôtel, ton neveu chéri -. Texto par retour : - tu m’épates, hâte d’être à demain soir. Ta Tatie Véro qui est raide de son neveu -. A 8 heures du matin mon père nous déposa à Roissy. Véro ne devait rester qu’une nuit pour rentrer dès le lendemain matin. Notre principal sujet de conversation concerna Hugo et son accouchement relativement aisé selon ses dires durant le vol. Puis au déjeuner j’expliquai à ma tante le fonctionnement de la boite, sa structure et l’influence de la famille Zusu. A 16 heures pétantes je la présentai au DRH. Largement à son avantage dans le tailleur de ma mère, elle suivit le type en débutant l’entretien en anglais. Je n’aimais pas ce grand gaillard d’une quarantaine d’années, sa façon de la regarder m’avait fortement déplu. Inconsciemment je devenais jaloux et à 18 heures elle sortit du bureau. En réalité avec le poste que j’allais occuper, j’étais hiérarchiquement au-dessus de lui et à voir la mine déconfite de Véro, il y avait eu certainement un problème crucial. — Patrick je crois que c’est foutu, il a trouvé mon niveau d’anglais insuffisant. Déplora-t-elle. — Attends… Je rejoignis illico le directeur du site, Richard un anglais dont j’étais le bras droit pour convoquer sur le champ le gaillard de 40 ans. Une brève ...
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