1. Ce soir je suis sa chienne


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ébullition. Sous le joug de Lucas il y a peu de doute sur la tournure que va prendre cette sortie, tout de moins sur le fond. En revanche il y a tellement de possibilités quant à la forme…. Je suis dégoulinante. Impossible de définir si nous allons vite ou doucement, mais notre vitesse semble régulière. Impossible de savoir s'il y a beaucoup de camions, ou encore si on m'a vu, me voit en ce moment. Enfin jusqu'au double coup de klaxon juste à notre droite. Là, le doute n'est plus possible, un mec se rince l'œil. L'effet est immédiat. Mes mains se montrent plus actives, mes gestes plus francs, plus amples, plus démonstratifs. Lucas me glisse deux doigts dans la bouche et je les suce avidement pendant que je me fais jouir sur le siège avant de sa voiture, sous le regard d'un inconnu… Je me sens prête à tout et refrène les mots qui me brûlent les lèvres, mon envie de sperme, de queues... Lucas : J'aime les initiatives, pour peu que celles-ci aillent dans mon sens, et de voir Léa ainsi enchérir sans que je n'aie eu le moindre mot à lui dire fait plus que me satisfaire. Je le prends comme un gage donné pour la suite, une invitation à ne pas hésiter à me lâcher. Nous avons déjà dépassé une certaine forme d'exhibitionnisme ludique pour entrer dans le dur et même ce routier qui nous apostrophe semble s'en rendre compte. J'ôte mes doigts de sa bouche après qu'elle les ait largement sucés comme l'aurait fait de ma queue la première pute venue et, d'une voix posée et ferme, je lui ...
    ... ordonne de les remplacer par les siens. - Vas-y ! Montre nous explicitement avec tes doigts ce que tu es et ce qu'il te faut ! De la main, et du mieux que je peux, je tente de lui faire passer le message de nous rejoindre à la première aire venue. L'homme semble me comprendre, du moins si j'en juge au large sourire qu'il arbore. J'accélère un peu en quête d'autres amateurs, frustré que je suis de n'avoir pour l'instant que si peu d'échos. Léa le ressent-elle lorsque mes doigts la fouille de nouveau, plus brutalement, plus nerveusement ? Que m'importe, j'use et j'abuse de ce dont j'ai la pleine et entière propriété. Je la veux à mille lieues d'une quelconque sécheresse, fut-elle passagère, je la veux prête à ce que je déciderai qu'il advienne, parce que je l'exige, parce que je sais que c'est ce qu'elle désire au plus profond de son ventre et de son âme, parce qu'il ne fait aucun doute qu'elle est faite pour cela. Un autre de ces mâles tant espérés semble manifester un grand intérêt à ce qu'il voit lorsque je le dépasse en traînant un peu sous sa cabine. Il semble rustre à souhait, idéal pour la suite, et déjà jurer comme un porc seul dans sa cabine. Au cas où il aurait le moindre doute sur les dispositions dont fait montre la salope qui est à mes côtés, je la branle plus vivement, plongeant jusqu'à la garde deux de mes doigts tandis que je lui enjoins de bien faire comprendre ce qu'elle veut. - Fourre tous tes doigts et astique les bien à fond en tournant ton visage sur la droite ...
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