Ce soir je suis sa chienne
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... ! Montre à quel point tu as faim de bites pour te ramoner le gosier ! La réaction du type est immédiate, il semble vociférer dans l'habitacle du camion, sans doute n'en croit-il pas ses yeux, sans doute bande-t-il comme un âne et peut-être même se paluche-t-il en voyant cette traînée aux trous ne demandant qu'à êtes emplis. A lui aussi je fais signe de s'arrêter dès que possible, et si j'avais pu lui faire comprendre d'inviter quelques-uns de ses collègues, je ne m'en serais pas privé tant cela m'aurait épargné cette conduite erratique que je n'apprécie pas beaucoup. Il faut dire que maintenir une certaine attention à la route tout en besognant la pute trempée qui s'en est remise à moi, surveiller du coin de l'œil qu'elle ne baisse pas un instant en obscénité tout en racolant le tout-venant n'est pas chose aisée. C'est risqué, je le sais, c'est même inconscient, mais le vice l'emporte sur la raison. Trop longtemps j'ai été privé de ce genre de femelle que plus rien d'autre que l'assouvissement de nos plus bas instincts ne compte à présent. Soudain je vois les premiers panneaux indicateurs de la prochaine aire et je ralentis un tant soit peu pour regarder dans mon rétroviseur si les deux sympathiques camionneurs ne suivent pas de trop loin. J'ai un doute sur mes capacités d'explication. Ceux-là sont chauffés, prêts, mais s'ils ne s'arrêtaient pas il me faudrait faire mon marché là, une fois sur place. Non pas que cela me dérange beaucoup de présenter la marchandise aux ...
... amateurs, mais ce genre de formalités ça va bien cinq minutes et il est grand temps d'entrer dans le vif du sujet, ou plutôt de la sujette. Arrivé enfin à la hauteur de cette terre promise de péchés, je déboîte et entre doucement sur le grand parking, garant la voiture entre deux semi-remorques déjà arrêtés, derrière la station et hors de vue du gérant. Je ne veux pas lui faire un procès d'intention, mais étant forcé de tenir son fond de commerce autant l'écarter de l'équation. Une fois le moteur éteint, je continue à farfouiller d'une main le con de cette bonne salope de Léa, tandis que de mon autre main enfin libérée des contraintes routières, je m'amuse avec la pointe de ses mamelles, les étirant, les vrillant afin de leur donner meilleure apparence tout en m'assurant du bon maintien du chemisier. - Il te faut être présentable pour nos invités ! Je te veux afficher meilleure tenue ! Une tenue digne de la roulure que je vais faire de toi ! A peine ai-je eu le temps de terminer ma phrase que mon attention est attirée par le bruit significatif d'un gros cul qui se gare non loin de nous. Je ne sais pas si c'est un des convives qui vient festoyer ou si ce n'est qu'un autre routier. Très vite je suis rassuré, le premier des deux s'avance vers la voiture, sourire aux lèvres et la queue déjà au garde à vous du peu que je puisse en juger. Je me tourne de nouveau vers Léa. - Tes premières couilles à vider arrivent. Il semblerait que ça va être ta fête… Léa : Après m'avoir pleinement ...