1. Triolisme à deux


    Datte: 22/08/2018, Catégories: fh, voiture, vengeance, intermast, Oral pénétratio, tutu,

    ... le soutient gorge, mes fesses pressées contre son sexe, pendant que je lui demande s’il me trouve belle. D’une main, je lui caresse une fesse, juste assez pour permettre à mon autre main d’aller saisir ses testicules. Il frissonne. C’est reparti. Ma main monte le long de sa verge, il me lèche autant qu’il m’embrasse, il me malaxe la poitrine. Je préfère quand c’est plus doux, surtout au début quand on titille mes tétons au lieu de les pétrir. Il te faisait ça aussi ou il se lâche parce qu’il en a longtemps été privé ? Quoi qu’il en soit, je ne veux pas le décevoir, et j’halète en rythme comme si c’était une caresse divine. Comme si je chancelais sous la poussée, j’avance un peu jusqu’à me retrouver penchée en avant, appuyée à même le miroir. J’ai du lâcher sa verge, mais mes fesses montent et descendent pour le branler. « Déshabille moi » Ce n’est pas qu’il me reste grand chose sur le dos, mais un ami m’avais confié un jour que c’était une phrase puissamment érotique pour un homme, et en effet, l’expérience me l’a confirmé. Il défait adroitement mon soutien-gorge: tu l’as bien éduqué. Il s’agenouille pour enlever ma culotte. J’espère qu’il ne verra pas que je ne mouille pas vraiment. En équilibre instable, j’entrouvre mon sexe d’une main pendant que je guide sa verge de l’autre. Voilà, doucement, ça entre. Ça tire un peu mais c’est bon. Me voilà prise en levrette, nue, appuyée sur le miroir où ma respiration viens faire des traces de buée, les seins ballottant. Son sexe ...
    ... va-et-vient. Je sais qu’il me voit des deux faces: vue directe sur mes fesses, mes hanches, ma taille et mon dos, vue indirecte par le miroir sur mon ventre et mes seins. Il est bien. Je geins doucement. c’est bon. On prend le temps. C’est pas idéal pour moi comme position, mais je vois ses yeux. Il n’en rate pas une miette. Je l’encourage: « Vas-y, prends moi. » Il accélère. Ça commence à chauffer vraiment entre mes jambes, et pas en bien. Putain, faudrait pas que ça dure trop longtemps. Si c’était pas lui, je demanderais une pause le temps de mettre un lubrifiant. Si je pensais plus à moi et moins à toi aussi, ça irait sûrement mieux. Je respire plus bruyamment. Quitte à tomber, je lui attrape les couilles, je les caresse, je remonte entre les boules et l’anus. Ça y est. Il décolle. Son regards se pose sur mes hanches. Je le sens qui se retiens. Non, ne fait pas ça, ça a assez duré ! « Lâche toi, viens. » C’est magique comme phrase. Je le sens qui se crispe. Alors je me donne à fond. Je pousse mes fesses en arrière pour l’avaler au maximum au fond de moi, je crie, je geins, je hurle un orgasme de compétition. Fugacement, je me dis que les voisins vont apprécier. Mais lui, il faut qu’il entende, il faut qu’il sente, il faut qu’il s’y croit, il faut que tout cela se grave en lui à jamais. Je ne sais pas si vous reviendrez ensemble. Mais tout le monde m’a vue partir avec lui. D’une manière ou d’une autre, tu le sauras. Et lui, cette nuit, jamais il ne l’oubliera. Tu ne pourras plus ...