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Datte: 23/08/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
extracon,
vacances,
voyage,
bateau,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
confession,
... tout le long, une main sur la mienne qui tenait la corde, l’autre sur ma hanche. Une fois le pont franchi il m’a tendu sa bouteille, et pendant que je buvais, a sorti un mouchoir en papier pour m’éponger le front. Quelle délicatesse, me suis-je dit. Ça m’a fait un bien fou. Il a rangé son mouchoir dans une poche et en a sorti un autre pour m’éponger le cou. J’ai senti sa main descendre dans mon décolleté. Il ne m’avait pas quittée des yeux. J’étais comme tétanisée. Il n’a rien fait d’inconvenant, n’a pas cherché à aller sous le tissu de mon tee-shirt, mais son contact et son regard m’ont plongée dans une espèce de transe. À moins que ce ne fussent l’ambiance moite et l’éclairage minimal qui m’aient perturbée. La visite du minuscule tombeau que nous étions allés chercher si profondément sous la surface étant terminée, il a fallu remonter. C’était encore plus difficile que la descente, plus fatiguant aussi. Les efforts dans cette humidité insoutenable devenaient pénibles. Omar m’a bien aidée, me poussant sur les fesses à chaque fois que la pente devenait difficile. Il faisait chaud dehors, mais l’impression de frais était saisissante. Nous avons ensuite enchaîné avec le même plaisir les visites de temples des environs. Les retraités reposaient plusieurs fois les mêmes questions, perdus dans la chronologie des dynasties et les symboles pour représenter les dieux. Mustapha était toujours aussi patient et compétent, lisant à haute voix les hiéroglyphes. Je pouffais à chaque ...
... fois que Mustapha s’étendait sur la signification des représentations ithyphalliques que la mamie ne comprenait pas. Omar riait aussi, discrètement. Mustapha en était à sa troisième explication de la même inscription. Les anciens semblaient décidés à passer la journée là. Omar nous a proposé, à Jacques et à moi, de poursuivre la visite avec lui, ce que nous avons vivement apprécié. Le lieu était désert, sans bruit. On ressent dans ces endroits une tension émotionnelle assez forte quand il y a du monde. C’est encore plus pesant quand on s’y sent seul avec les dieux. Nous nous sommes éloignés, parcourant les méandres du temple, admirant les fresques, profitant des explications avisées d’Omar. Il ne ratait pas une occasion de me toucher. Il devait avoir remarqué que Jacques ne s’en offusquait pas, et du coup ne me lâchait plus d’un pouce. Arrivés dans une petite coursive peu éclairée, je suis tombée en admiration. Un mur très haut et couvert d’inscriptions et de dessins se dressait devait nous. On n’en voyait même pas le haut. Omar nous a confié que cet endroit était d’habitude interdit aux touristes car trop étroit. Ça avait dû être l’entrée d’un dispensaire. On pouvait y voir des dessins d’opérations chirurgicales, de forceps, de trépanations. Les Égyptiens anciens avaient des pratiques qui n’ont été connues de l’Occident que plusieurs siècles plus tard. Ça impose le respect. Plus nous avancions dans cet étroit couloir, plus la lumière se faisait rare. Omar nous a expliqué qu’à ...