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Datte: 23/08/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
extracon,
vacances,
voyage,
bateau,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
confession,
... nôtre. Aussi étroite, aussi optimisée. Deux lits étroits, peu de passage. Mais je m’en foutais. Je n’étais pas là pour le confort. Ni pour faire du chichi. Je me suis retrouvée nue assez vite en disant « Prem’s ! » les bras levés. Omar a fini d’ôter ce qui lui restait avant de se jeter sur moi. Oui, on peut dire qu’il s’est jeté sur moi. Je n’ai plus touché le sol, me trouvant soulevée, retournée, secouée. Merveilleuse fougue de la jeunesse… Il savait bien qu’il ne baisait pas une jeune fille. Les stigmates du temps qui passe sont assez visibles sur mon corps de maman, mais il n’arrêtait pas de louer ma beauté, mon parfum, la chaleur de ma chatte. J’ai fait comme si je le croyais, et peut-être était-il sincère ; je me suis laissée aller. Même à quatre pattes avec Omar qui me chevauchait, j’avais l’impression de ne rien peser. Il me maintenait en apesanteur, me pénétrant profondément, m’arrachant des soupirs et des râles de plaisir. J’ai senti chaque millimètre de son sexe en moi ; un ravissement que de ressentir une pénétration aussi profonde, aussi entière, aussi dure. J’avais l’impression qu’il était partout en même temps. Il me tirait les tétons, me léchait dans le cou, me caressait les fesses, et de temps à autre faisait le tour de mon anus, me malaxait l’intérieur des cuisses, et je sentais ses doigts me branler le clito. Sa queue allait et venait sans relâche, me conduisant tout doucement vers l’extase. Et j’ai joui. Alors là, oui, j’ai joui. Une fois, puis une fois ...
... encore, puis je ne sais pas combien de fois. J’en hurlais sans retenue, lui demandais de me baiser plus fort, me crispais sous ses assauts, et je jouissais encore. Il a fini par me plaquer sur le lit de tout son poids et il a ralenti la cadence. Un instant même il s’est arrêté, fiché au plus profond de moi. Je sentais son poids sur mes fesses, ses mains sur mes hanches. Il m’a demandé si je voulais vraiment accoucher du soleil. J’ai hurlé que oui, et j’ai remué mes fesses autant que je pouvais pour qu’il reprenne ses mouvements. Il les a repris lentement mais fermement, tapant dans mes fesses à chaque fois qu’il poussait, puis ses mouvements sont devenus plus rapides, plus aériens. J’ai entendu des « Je…je… » ; ça ne voulait pas sortir. Il déversait en moi, abondamment, son sperme chaud et visqueux. Symboliquement, il m’engrossait. La déesse du Ciel faisait le plein de foutre. Cette idée folle a décuplé mon plaisir quand j’ai passé péniblement une main sous mon corps pour me masturber le clitoris, et j’ai joui avec lui. Nous avons dormi un peu je crois, nus et enlacés dans cette petite couche. Puis j’ai senti ses mains, il a senti les miennes. Je suis venue sur lui, et rapidement j’ai compris qu’il était en forme. Sa queue a repris sa place en moi, et j’y ai pris un énorme plaisir. Il a compris que j’aimais qu’on me bouffe les seins, et je dois dire qu’il le faisait très bien. Cette fois c’était plus tendre, plus sensuel, et ça a duré plus longtemps. Plusieurs fois il s’est ...