1. Balade à Lille


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl,

    ... rebord d’un bac. Mes deux hommes se penchent vers lui, tandis que je me rhabille précipitamment. C’est bien la première fois qu’un homme réagit comme ça à ma vue ! Il bafouille : — Ne vous inquiétez pas, ce n’est rien ! L’émotion sans doute…— Vous êtes sûr ?— Oui, oui, je fais un peu d’arythmie cardiaque… ne vous inquiétez pas. D’habitude, ça m’arrive dans je dois monter trop de marches ou quand je fais un gros effort. Aujourd’hui, c’est pour une meilleure cause…— Vous avez une façon plaisante de voir les choses ! dit mon mari.— Ah, vous savez… à mon âge… Nous attendons un peu qu’il aille mieux. Puis il se relève : — Désolé de vous avoir fait peur. En tout cas, je ne vous remercierai jamais assez pour ce spectacle… Je ne vais pas vous retenir plus longtemps. Je vais vous accompagner à la sortie.— Vous êtes sûr que ça ira ?— Oui, n’ayez crainte, je vais très bien, j’ai été très heureux de vous rencontrer ! Quelques instants plus tard, nous sommes de retour devant le théâtre. C’est Pascal qui prononce le mot de la fin de cet épisode : — Décidément, la vie est pleine de surprises… Allons manger pour nous remettre de nos émotions ! Émotions ? Je ne pense pas que mon mari ait dit ça pour lui, car il ne m’a pas semblé plus émotif que les autres fois. Par contre, j’ai eu droit à trois bandaisons simultanées, et rien que pour ça, ma journée n’a pas été vaine ! Nous arrivons à présent devant un restaurant chinois dans lequel nous sommes déjà venus diverses fois. Pascal désigne ...
    ... l’entrée : — Si ça vous dit, on peut manger ici : il y a un buffet entrées et desserts, avec wok et grillade. Nous y avons déjà mangé quelques fois.— Ça me dit !— Dimanche ! Je me tourne vers Valentin qui a un grand sourire niais sur le visage : — Très spirituel, mon lapin !— Je te l’ai dit plusieurs fois : je suis un homme parfait et spirituel ! En soupirant, je préfère laisser tomber. Une bonne minute plus tard, nous sommes tous les trois attablés dans un coin, Valentin juste en face de moi et Pascal à côté de lui. J’ai donc sous les yeux mes deux hommes. J’ôte mon gilet, que je pose sur la chaise vide voisine ; Valentin en profite pour mater sans retenue. Je constate que mon mari n’est pas en reste. Pourtant lui, il devrait être blasé depuis le temps ! Eh bien, non ! Il semblerait que je garde pour lui le même attrait qu’il y a quelques années, ce qui est flatteur pour moi ! Quatre yeux rivés sur mon top transparent, je commence la conversation en expliquant à Valentin ce qu’il peut trouver de bon dans ce restau. Il me répond aussitôt : — Ne t’inquiète pas, je sais ce qui est bon ici !— Ah bon ? Pourtant, tu n’es jamais venu ici !— Ce que je trouve de bon, c’est ce que j’ai sous les yeux, en face de moi ! À ma grande surprise, je rougis un peu ! — Flatteur et menteur !— Pas du tout, j’adorerais… euh… Comme un peu inquiet, Valentin se retourne vers mon mari, le questionnant muettement. Celui-ci lui répond de la même façon en inclinant simplement la tête. Alors mon dijonnais ...
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