Balade à Lille
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
jardin,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
amiamour,
lieuxpubl,
... même. J’ai à présent deux mains d’hommes différents qui s’occupent de mes deux seins. J’aime cette sensation d’être ainsi choyée… Pour un peu, je me laisserais bien sombrer dans un sommeil réparateur et coquin ! À présent, mes deux hommes jouent avec mes tétons, les titillant, les exacerbant afin qu’ils se dressent sous mon top. Moi, je laisse faire ; je me laisse toujours faire dans ce genre de situation agréable, mais pas avec n’importe qui. Ici, il s’agit quand même de mon mari et de mon simili-mari ; donc, c’est totalement légal et légitime, non ? Simili-mari… l’expression est plaisante. Il est vrai que plus je connais Valentin, plus je me dis qu’il y a des similarités avec mon Pascal à moi. Mais pas tout à fait, car il a aussi quelque chose en plus qui… enfin, comment dire… qui m’émeut… Je ne sais pas si c’est le bon mot, mais Valentin a aussi autrement ce petit « plus » qui me plaît tant. Soudain, les mains de mes hommes quittent mes tétons. J’ouvre un œil, et je découvre qu’ils sont en mode « sage ». J’ouvre l’autre pour découvrir qu’il y a un groupe de personnes qui s’approche. Pas de chance, j’aurais bien aimé continuer. Tant pis, laissons-les passer ; on verra après. Manque de chance, à peine sont-ils passés que d’autres personnes arrivent dans l’autre sens. Pascal se redresse, scrute l’horizon et déclare : — Bon. Eh bien, vu le monde que je vois là-bas, il va falloir être plus sage…— Ah bon ?— Eh oui, ma chérie d’amour : on dirait que la moitié de Lille s’est ...
... donnée rendez-vous ici, dans ce parc.— Tu veux rire ? Valentin s’est levé lui aussi, regarde au lointain puis constate : — Non, si ce n’est pas la moitié, c’est au moins le tiers… Je fais la moue ; je n’aime pas trop que ce genre de chose très plaisante soit suspendu ainsi, alors que ça devenait très agréable ! Je soupire : — Je dois remettre mon gilet ou pas ?— Vu la troupe d’enfants qui va arriver par ici dans moins d’une minute, je te le conseille vivement… Déboulant du tunnel, une bonne dizaine d’enfants bruyants et chahuteurs passe devant nous, puis s’installe dans la pelouse à vingt mètres de notre petit coin. Bon ; eh bien, c’est raté. Pascal, qui est parti en reconnaissance, me confirme en revenant que ce n’est pas la peine d’aller voir ailleurs : le parc se remplit inexorablement. Alors nous causons de diverses choses avant de nous lever et de traverser le parc bondé de monde en direction d’une statue dont je découvre le dos. — C’est qui, Zamour ?— Regarde-la par-devant et dis-moi qui c’est… sans regarder ce qui est écrit en bas sur le socle.— Pourquoi tu ne me le dis pas ?— Pour voir si tu reconnais cette personne… Je contourne la statue, je la dévisage. Ça me dit effectivement quelque chose, mais ce n’est pas évident. — Ce n’est quand même pas François Mitterrand ?— Si, c’est lui…— Eh bien, on ne peut pas dire que c’est franchement ressemblant ! Ça ne saute pas aux yeux ! Mon dijonnais intervient : — Tu préférerais autre chose qui saute ou qui soit sautée ?— Oooh, ...