1. Balade à Lille


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl,

    ... minutes maxi ; l’autoroute sera dégagée, Lille peut-être moins. Donc, vers neuf heures vingt au plus tard si tu ne veux pas avoir de surprises.— Tu es sûr ?— Affirmatif : il n’y aura personne sur la route à l’heure dite. Je me tortille les mains : — Euh, Zamour…— Oui, Chérie ?— Ça… ça ne te gêne pas trop que…— Depuis le temps que tu blablates avec, je suppose que tu es fort désireuse de le voir de plus près. Je me trompe ?— Oui, c’est vrai ; mais toi ?— J’en profiterai pour voir s’il est vraiment mon clone en plus jeune, comme tu me le serines souvent. Et puis, ce qui te fait plaisir me fait plaisir. Je me jette à son cou pour l’embrasser : — Tu es vraiment un Zamour !— Je sais, je sais ! Et ce fut un gros et énorme bisou comme je les aime ! Samedi est trop vite arrivé ; je n’ai pas trop dormi de la nuit, et j’ai cogité sur ce que je pouvais mettre. J’ai envie de lui en mettre plein la vue, mais tout en restant dans les limites du raisonnable car nous ferons visiter un peu Lille à Valentin ; il a refusé d’aller chez moi, redoutant un peu ce que je risquais de lui faire subir ! Après diverses tergiversations, mon choix s’est porté sur une jupe assez courte en jean, un top bleu transparent et un léger gilet noir par-dessus. À mes pieds, des talons-aiguilles bleus. J’ai assorti mes ongles du même bleu. Je me regarde devant la glace : pas mal ! Grâce au jeu de lumière, on devine beaucoup plus qu’on ne voit la naissance de mes seins derrière la bande bleue encadrée par mon gilet ...
    ... sombre ! Je suis assez fière de moi. — Tu cherches à exciter qui ? Je me retourne ; Pascal est là. Pas besoin de lui demander si ça lui plaît : la lueur dans ses yeux parle pour lui. Je suis encore plus fière de moi ! Après avoir roulé un bon bout de temps sur l’autoroute (c’est fou comme le temps passe lentement quand c’est comme ça), nous arrivons enfin sur Lille. Pas trop de circulation en ce samedi, nettement moins qu’en semaine en tout cas. Durant le trajet, Valentin a envoyé au moins cinq messages auxquels j’ai répondu tant bien que mal, car je ne suis pas à l’aise pour écrire en voiture. Ce qui me donne des excuses pour faires des fautes ! Mon mari, qui connaît bien le coin, va directement se chercher une place libre et non payante le long du cimetière de l’Est. Spontanément, ce n’est pas dans ce coin un peu particulier que je songerais à aller, mais ça lui réussit puisque nous trouvons tout de suite de quoi se stationner, et en plus, à l’ombre ! Il va finir par croire que je le trompe pour avoir autant de chance ! Je regarde l’heure sur mon portable : nous avons une bonne demi-heure d’avance ! C’est vrai que j’ai houspillé mon mari pour partir plus tôt, et le trajet a été rapide car il y avait peu de circulation, bien que ça m’ait semblé trèèès long ! Je suis toujours un peu stressée, je ne peux m’en empêcher. Par contre, Pascal, lui, reste égal à lui-même, impassible. Un peu engourdie, j’ouvre la portière pour déployer mes grandes jambes dehors, tout en demandant : — ...
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