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Nouvelle génération
Datte: 24/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... puissantes ! Le calme revenu, nous allons nous câliner étendus côte à côte. Chacun de nous reçoit les caresses des deux autres et frémit à ces contacts. Mon regard se réjouit de ces jeunes corps exposés. Mes mains s’égarent sur leurs peaux excitées. Je pelote une chute de reins puissante ou discrète. Ma main se creuse pour un sein imposant ou une petite poitrine androgyne. Elles aussi me caressent et se caressent. Mes tétons durcissent sous la main experte qui les stimule. Mes jambes s’écartent pour laisser toucher mes zones érogènes en feu. Mon sexe se dresse de plaisir. A chaque geste correspond une esquive inaboutie qui me permet de pénétrer du regard toutes les courbes de mes magnifiques partenaires. Elles s’embrassent et se touchent. Elles m’apprennent, en se pelotant l’une l’autre, leurs envies de caresses que je répète en bon élève. Au bout d’un moment, je ne sais trop comment, les deux filles se retrouvent en 69 jambes largement ouvertes et intimité exposée. Je ne puis me retenir de présenter mon vît au cul d’Anne-Lise placée au-dessus des deux. J’entre facilement en elle tandis que je sens sous moi la langue de Laure qui s’agite dans son sexe et ses cheveux qui caressent mes bourses. Je suis heureux de l’aimer ainsi en sachant que ses sensations sont décuplées par l’action de sa deuxième amante. J’interprète chaque frémissement de son corps comme une victoire commune avec Laure et cela me remplit de ...
... bonheur et de fierté. Ce corps frêle et léger, tenu en suspension, est propulsé en avant à chaque mouvement. Elle sursaute et vibre à l’excès car je la baise en de puissants va-et-vient. Le bruit flasque des peaux qui s’entrechoquent donne agréablement la cadence. Le plaisir monte crescendo, sans précipitation excessive. Une fois de plus, c’est notre sportive qui décide de notre plaisir commun en accélérant le mouvement et risquant un doigt dans mon cul. Mon sexe s’agite et tapisse son intestin de mon foutre. Anne-Lise se met à trembler de tout son corps puis à creuser brutalement ses reins à deux reprises. Somptueux instant d’éternité ! Le calme revenu, nous en retournons aux caresses et aux câlins. Cette fois-ci les échanges deviennent plus tendres et langoureux et nous incitent au sommeil. Par la suite, il ne fut jamais question entre nous de ce moment d’intimité. Il a simplement marqué la qualité d’un attachement commun. Curieusement, j’en garde essentiellement le souvenir du rôle dominant qu’y a joué Laure. Je n’ai donc pas été surpris de la voir occuper un poste professionnel en vue et prendre Anne-Lise comme adjointe. Je ne crois pas que leur relation ait été, par la suite, emprunte du moindre désir ; mais je ne peux arrêter de penser qu’un pacte a été noué entre elles cette nuit-là, en ma présence fortuite. L’élan amoureux leur a permis de prendre conscience du tempérament et de la détermination de chacune.