Comme chien et chat (2)
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... doucement son haut, les yeux toujours fermés. Il dévoile son torse fin et musclé, ses pectoraux saillants et son ventre plat. Je suis subjugué par sa beauté, moi qui le connais depuis dix ans maintenant, il me semble que je le redécouvre. Je couvre son corps de baisers furtifs, agiles. Il grogne de contentement, ce qui m’encourage à aller plus loin. Désormais, je m’attelle à défaire sa ceinture. Je suis fébrile et tremblant, mais je la dénoue facilement et baisse doucement son pantalon sur ses jambes musclées par de longues heures de courses. Je le regarde. Il est beau, dénudé et puissant! Son boxer noir et bleu s’accorde parfaitement à son pelage. Je le contemple, incertain de ce que je vais faire. J’hésite encore un peu, mais il est désormais trop tard pour reculer. Je j’agrippe à son boxer comme à une bouée de sauvetage. Lentement mais sûrement, il glisse, dévoilement progressivement son entrejambe. J’aperçois d’abord son fourreau, gris foncé sur ses poils noirs, puis ses testicules douces et brillantes. Louka à toujours un demi-sourire léger, presque incertain. J’embrasse l’intérieur de ses cuisses, m’approchant davantage à chaque fois de son fourreau. Me voici devant celui-ci. Je dépose un doux baiser dessus, puis sort doucement ma langue, tout en titillant ses tétons avec mes doigts. Il grogne de nouveau, plus profondément cette fois. Je lèche ses boules une première fois, jouant avec comme un chaton. De ses mains, Louka me caresse la tête et les épaules. Ce toucher ...
... m’enivre... Plus sûr de moi maintenant, je lèche avec entrain son fourreau, où je retrouve la même odeur que lors de son baiser. Cette odeur sauvage, primitive, m’excite davantage! Soudain, je vois pointer un petit bout pointu rose entre les chairs de son fourreau. Ni une ni deux, je m’active davantage, toujours aussi transporté. J’évite soigneusement son pénis qui désormais semble grandir plus vite. Il atteint désormais une quinzaine de centimètres, mais grandit encore davantage, ne s’arrêtant que les vingt atteints. Cependant, son nœud, encore enfermé, semble attendre plus de moi. Je me redresse, embrasse langoureusement Louka qui ne daigne toujours pas ouvrir ces yeux. Je baisse la tête et commence à lécher sa hampe dressée vers le ciel. Quand ma langue entre en contact avec son pénis, un frisson le parcourt, tandis que j’ai l’impression d’avoir COMPRIS quelque chose. Je savoure cet instant puis recommence à contenter mon amant. Son pénis est luisant. Il est salé et commence à avoir des spasmes, confirmant la joie de Louka. Comme je l’aime... Je me trouve bête de ne m’en rendre compte que maintenant! Enfin, je me décide à le prendre en bouche. Tout en jouant avec ses boules, ma bouche glisse lentement, tentant vainement d’avaler l’intégralité de son pénis. Je fais des allers-retours, ne dépassant pas la petite pointe qui couronne sa virilité. Puis, je me lance et commence à courber ma tête dessus. Il m’aide de ses mains, sans forcer, en accompagnant mon mouvement de descente. ...