Le sacrifice
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
asie,
frousses,
couple,
profélève,
grosseins,
forêt,
jardin,
bateau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
aventure,
... perdition. La nuit tombait. Tout contre le corps de son mari, la petite Japonaise lui avoua que leur mariage, arrangé par leurs pères respectifs, lui avait causé beaucoup d’angoisse. C’était la première fois qu’elle s’ouvrait à son époux de ses sentiments intimes. La proximité de la mort desserrait l’emprise de sa pudeur et de sa prudence. ~~nOe~~ À l’époque, expliqua-t-elle en lovant sa tête dans le creux de l’épaule de Jigoro, elle connaissait un homme plus vieux qu’elle. Un ami de son père. Un homme célibataire. L’homme aux tempes grisonnantes habitait une immense demeure dans les hauteurs de Kyoto. Ses ancêtres, des nobles samouraïs, lui avaient légué une immense fortune et sa vie, calme et harmonieuse, était dévolue à la culture des bonzaïs et à l’art subtil du jardin. Rares étaient les visiteurs qui pouvaient s’enorgueillir d’avoir pu admirer l’immense jardin que Matsuo Haritika sculptait depuis plus de vingt ans. Mikyo expliqua à son mari que son père avait réussi à décider son ami de prendre sa fille comme stagiaire. Sortie du lycée, elle devait enrichir ses connaissances avec les arts traditionnels japonais. L’homme, au premier abord strict et sévère, avait finalement accepté et, pendant les premiers mois, Mikyo venait tous les après-midi apprendre l’art des bonzaïs. Une relation tendre naquit. Puis une attirance. Déambulant avec fierté en kimono traditionnel, Matsuo impressionnait la jeune Mikyo. Il était doux avec elle et sa patience n’avait pas de limite. Ses ...
... mains puissantes aux veines gonflées faisaient trembler la stagiaire lorsqu’elles la frôlaient pour corriger une coupe ou une bouture. De nature docile et sage, la jeune fille prit cependant plaisir à perturber leurs rencontres si policées en s’habillant avec des jupes de plus en plus courtes, et en oubliant de fermer quelques boutons de ses chemises. M. Haritika ne paraissait guère troublé par ces provocations. Pourtant un jour : — Fait-il si chaud chez moi, pour que tu t’allèges de tes vêtements ? Sa voix grave résonna au fond du ventre de la jeune fille qui, accroupie à ses pieds, était occupée à élaguer un charme nain. Elle leva la tête et sourit un peu niaisement. — N’aurais-tu pas d’autres projets d’apprentissages que l’art du jardin, en venant tous les jours chez moi, Mikyo ? ~~nOe~~ Le vent grondait toujours. Blottie dans les bras de son mari, la Japonaise se sentait en sécurité. Sa peau douce se frottait contre celle de son époux dont l’érection encouragea la femme à continuer sa confession. ~~nOe~~ Matsuo Haritika prit la jeune fille par la main et la mena dans sa chambre. Le matelas en futon accueillit le corps tremblant de la stagiaire qui regardait, un peu apeurée, son professeur dénouer doucement son kimono. C’était la première fois qu’elle voyait un homme nu. C’était la première fois qu’elle regardait un pénis. Matsuo s’allongea à côté d’elle et prit beaucoup de temps pour lui expliquer les choses de l’amour. Il épilogua longuement sur les manières de rendre un ...