-
Marie et le sculpteur aveugle (4)
Datte: 29/07/2017, Catégories: Erotique,
... toutes mes forces. Ma tête bascule en arrière tandis que mon sexe se contracte longuement sur ses doigts qu’il retire plein de cyprine et porte à sa bouche. Mon corps se fige en l’air un instant et retombe, inerte, sur le podium en bois. Mes bras ne tiennent que par les attaches en cuir. « Fantastique....Elle a meilleure allure maintenant.... Ces reflets huilés font ressortir toute sa sensualité et ses courbes si avantageuses...ça va être terrible ! » dit Robert sans autre forme d’émotion, feignant d’ignorer totalement l’orgasme qui vient de me submerger. Lucien, concentré comme à son habitude ne relève pas non plus. Robert s’assoit juste à côté du haut de mon corps et fait l’esquisse de ma tête renversée alors que je transpire à grosses gouttes. Mon cœur et ma respiration reprennent doucement leur rythme de croisière. Je ne me plains même pas de ne plus sentir mes mains dans cette longue position inconfortable tant je me sens rassasiée, en pleine béatitude. « Tu peux baisser les bras, j’ai fini ce côté-là » dit Lucien en me détachant. Je baisse mon premier bras et le ramène le long du corps mais lorsque je veux faire la même chose avec l’autre du coté où Robert est assis, celui-ci le guide ...entre ses jambes ! Il pose ma main juste sur le gros bourrelet que fait son sexe dans son pantalon, le long de sa cuisse. Je suis troublée et ne sais comment réagir alors que, sans un mot, il continue de dessiner. Il bande à mort ! Je me sens obligée...d’autant plus obligée après son ...
... intervention dans l’épicerie. Et je sais qu’il va prendre un immense plaisir... Je racle alors doucement mes ongles sur sa verge au travers du fin tissu. Il s’arrête de dessiner un instant et déglutit alors que son sexe se tortille, engoncé dans le pantalon. Mes doigts le caressent et cette bosse en forme de grosse saucisse se met à grossir encore et à bouger... Je tourne la tête et nos regards se croisent. Il me sourit et dit « Je n’ai jamais eu autant d’inspiration ! Tu es unique Marie » Je lui retourne un sourire, flattée du compliment tout en lui triturant négligemment le gland au travers du tissu qui s’imprègne de sa mouille... Il ne sourit plus. Il gesticule sur son tabouret et a du mal à respirer tandis qu’il essaye de se concentrer sur son dessin. Je continue de le grattouiller avec mes ongles, sur toute la longueur, puis sur le gland que je distingue au travers du tissu mouillé et transparent. Il ne porte pas de caleçon. Je m’attarde un instant sur la base du gland et le masturbe lentement en le regardant innocemment dans les yeux, la bouche ouverte, la tête en arrière et le buste huilé bien gonflé surmonté de mes deux tétons encore tout en érection. Les siens - les yeux, pas les tétons - sont exorbités ! Il est crispé sur sa planche et ne dessine presque plus. Je lui souris de plus belle en me pinçant les lèvres comme une petite fille qui a fait une bêtise. Je crois qu’il a vraiment adoré ma moue… Il est soudain pris d’une légère convulsion qui fait déraper le fusain ...