Le prix à payer (5)
Datte: 26/08/2018,
Catégories:
Hétéro
... réfléchissait plus, ni au passé, ni à l’avenir, elle fondit sous le baiser langoureux qu’il lui prodigua. Il l’embrassait avec passion, de plus en plus profondément, elle lui rendait son baiser avec fougue, elle ne voulait rien savoir des conséquences, de qu’il adviendrait après, elle lui offrit ses bras, entoura son cou. Elle sentit ses grands bras la ceindre, entourer son dos et sa taille, et la caresser doucement. Il posa sa main sur sa jupe, caressa sa cuisse moulée sous le tissu épais. Ils se levèrent d’un même élan, lent et langoureux. Il passa ses mains sous le pull, trouva la peau nue et replète de la petite blonde, qu’il trouva infiniment douce. Ils montèrent directement dans le dos jusqu’à l’agrafe du soutien-gorge qu’ils défirent, montrant là la grande expérience du séducteur. Puis il lui remonta lentement le pull qu’il fit passer par-dessus sa tête, la débarrassa du soutien-gorge en un instant : elle se retrouva torse nu, ses gros nichons libres et offerts. Fabrizio abandonna sa bouche pour contempler les magnifiques roploplos, et il siffla d’admiration. Elle sourit un peu bêtement, flattée du regard de l’homme, plein de convoitise. Il faut dire que ses deux seins bien lourds, bien que tombant un peu, avaient fière allure avec leur forme bien ronde, d’un très généreux volume (elle faisait du 95 D.) Les deux mains du bel Italien se refermèrent doucement sur les rotondités qui lui étaient offertes, comme deux fruits mûrs, comme les mangues de Gauguin. Il les ...
... palpa, les soupesa, très doucement, les caressa avec amour. Les pointes rapidement s’étaient mises à s’ériger, tant de se retrouver à l’air, que d’être ainsi exposées aux yeux du beau mâle, et les caresses sur la peau douce des seins ne faisaient rien pour calmer les pointes affolées. Sa bouche fondit sur les beaux mamelons rouge sombre, il les prit tout entiers, les goba, les aspira. Irène se cabra en arrière, soupirant sous la caresse humide et tellement exquise. Il lécha un peu les petites médailles toutes froncées sous l’effet du thélotisme. Les mains d’Irène s’étaient posées naturellement sur la nuque de son séducteur qu’elle caressait passionnément. Elle offrait sa poitrine à la bouche goulue de l’homme, sans aucun remords, et avec un plaisir non dissimulé. Elle sentait sa vulve s’humidifier, ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps. Le bel homme reprit sa bouche, la galocha langoureusement tout en s’attaquant à la fermeture de sa jupe qui tomba à ses pieds. Regardant ce qu’il avait dévoilé, il découvrit avec ravissement qu’Irène portait des bas auto-fixants et un tanga de tissu rose pâle et vaporeux qui laissait voir par transparence sa toison châtain. Il lui sourit en grognant de plaisir, prenant conscience qu’elle avait sorti le grand jeu pour lui. Il avait compris que sa conquête était toute prête à lui tomber toute cuite dans le bec depuis un moment, mais sa tenue sexy ne faisait que renforcer sa conviction qu’elle en avait vraiment envie, qu’elle attendait ça ...