1. Charlène, première expérience (2)


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Zoophilie,

    Mon aventure certes éphémère avec Fox, le pitbull, a laissé des traces dans ma mémoire. M’accoupler avec cet animal, même si cela peut paraître contre nature m’a apporté une jouissance plus forte que mes quarante années de vie sexuelle antérieures. J’ai repris ma vie estivale au Cap mais je constate que mon équipée zoophile me revient régulièrement en mémoire. L’aspect primitif du coït, sa vigueur hantent mon esprit. Tant et si bien que je me décide à rendre une petite visite à «Escortdog service» Je passe un coup de fil et la fille qui m’a répondu la dernière fois m’indique sans problème l’adresse du chenil. C’est à dix minutes en voiture. L’endroit ressemble à un chenil ordinaire, un accueil secrétariat et puis des boxes autour d’un jardin. C’est calme, pas de jappements intempestifs. Je pousse la porte du bureau et tombe sur une rousse d’une quarantaine d’année. En fait c’est la femme du patron, qui est aussi maître chien. C’est donc lui que j’ai vu. Elle m’explique qu’ils gèrent tous deux la société sans plus de personnel. Hélène, c’est son prénom est fort commerciale et enjouée. Elle me raconte que l’activité s’est d’abord développée en Belgique, où la loi est plus souple mais qu’au terme d’un accord avec la SPA, moyennant finance, ils ont pu s’installer ici. Elle s’interrompt un instant pour me dire que j’ai une ressemblance folle avec Claire Chazal et qu’elle a même cru un instant que c’était elle qui rentrait dans son bureau. Elle m’explique le long travail de ...
    ... dressage, les races qui s’y prêtent puis me propose de visiter le chenil. Il y a une douzaine de chiens sur place. Les autres sont loués. Je lui demande quel type de clientèle elle a. Elle me répond que ce sont pour la plupart des femmes ayant passé la cinquantaine, parfois des couples. Du haut de mes soixante je me retrouve dans la catégorie reine. Elle rajoute que la plupart des chiens sont loués à des habituées et que le bouche à oreille est ce qui fonctionne le mieux. La plupart des clientes viennent de milieux aisés, ce qui paraît logique vu les tarifs pratiqués. Nous passons devant des caniches, il y a également quelques boxers et un ou deux bergers belges. Les noms des chiens sont inscrits sur chaque cage. Je remarque que Fox est en goguette car sa cage est vide. Nous nous retrouvons finalement devant le clou de la collection, Sultan. C’est le dogue allemand dont son mari m’avait parlé. Il est magnifique, gris acier, pesant plus de 80 kilos, un mètre au garrot. Hélène m’explique que ses clientes les plus fidèles ont toutes une fois ou l’autre essayé Sultan, mais jamais la première fois car son allure est impressionnante. Elle me dit également que j’ai fait partie des rares à avoir choisi le pitbull car le chien a mauvaise réputation. S’ensuit l’apologie de Sultan car la patronne voit dans mes yeux que je suis intéressée. J’ai droit à des précisions sur son caractère fort doux, contrairement à ce qu’indique son apparence. Elle insiste sur ses qualités physiques, son endurance ...
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