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Charlène, première expérience (2)
Datte: 29/07/2017, Catégories: Zoophilie,
... réalise une nouvelle fois à quel point il est imposant. Arrivée la fin du repas je prends la barquette de sirop et fait glisser quelques gouttes de liquide sur ma chatte. Immédiatement Sultan entreprend de m’en débarrasser à l’aide son appendice buccal démesuré. J’écarte les jambes et renouvelle l’opération à l’envi. Je suis trempée, surtout par mon propre jus. L’envie que le molosse me pénètre est là, intense. Je prends un banc dans le jardin et branloche Sultan, puis lorsqu’il commence à bander je m’allonge sur le dos et écarte les cuisses. Le chien m’enjambe et vient frotter son gland pointu contre ma chatte. Du liquide séminal s’échappe sans arrêt de sa bite, lubrifiant mon intimité. Il donne de grands coups de boutoir pour introduire son engin et j’écarte de mes doigts mes grandes lèvres afin de lui faciliter le passage. La bite animale trouve son chemin et je suis subitement envahie par ce braquemart démesuré. Seul son gland me me pénètre. Le nœud de sa bite est trop gros pour moi. Je le laisse faire un moment puis je me redresse en évacuant lentement l’énorme dard. Je me dis qu’il faut certes respecter la nature mais qu’on peut aussi l’aider. Je fais un tour dans ma pharmacie et récupère un lubrifiant bien gras que j’utilise quand un de mes amants me sodomise ou que je me gode l’anus. J’enduis largement l’extérieur de ma chatte puis mon vagin avec le produit. Sultan me regarde faire l’air curieux. J’enfonce deux puis trois doigts dans mon con en prenant grand soin ...
... de bien les graisser. Je continue la manœuvre jusqu’à ce que mon poing entier me pénètre. Je pense en avoir terminé avec ces préparatifs fort nécessaires compte tenu de la situation et prépare rapidement mon toutou. Je n’attends pas qu’il soit raide comme la dernière fois car je n’arriverai à rien. Dés qu’il commence à bander, je me mets à quatre pattes. Sultan me saute dessus sans plus attendre. Je guide le bout de son membre vers mon entrecuisse et le laisse fourailler. Sa bite enfle à toute allure. Il me pénètre d’un coup de rein jusqu’à la garde. Même avec le lubrifiant ça reste douloureux tant son engin est énorme. Le bulbe est rentré. Je sens la protubérance m’écarteler les chairs. Je branle mon clitoris comme une folle pour évacuer la douleur. Je me sens écartelée. Il me bourre comme une chienne, il n’y pas d’autres mots. Je jouis au bout de quelques secondes. Je me colle à l’animal à coups de rein furieux, je suis totalement envahie, jamais ma chatte n’a accueilli quelque chose d’aussi gros. Une cascade d’orgasmes me submergent. La bite du clébard a atteint son apogée. Il ne peut plus bouger et moi non plus. Nous sommes arrimés l’un à l’autre jusqu’à ce que la nature daigne nous séparer. Je continue à jouir comme une folle tout en me branlant. A un moment donné je lève le regard et j’aperçois au dessus de la haie la tête du voisin, les yeux écarquillés. C’est un type veuf dans les soixante dix ans. Je me dis que je vais devoir rester ainsi devant lui, accouplée en ...