Vicieux et fier de l'être (2)
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
Divers,
... autre série, à quatre pattes, à moitié à poil puis avec le cul et la rondelle, en gros plan. Une dernière série, la bouche pleine, la langue tirée, où elle fixe l’objectif. Là, j’l’r’connais, c’est pas mal pour un début ! C’est ce que j’lui ai dit en lui pelotant les nibards. « J’vais les garder pour moi. Ce soir, faut faire une série plus porno. Là a sont bien, mais ça reste léger. T’as vu, c’est facile ! Il a aimé, non ? » Elle était au bord des larmes. « Oui, monsieur, je ne l’avais jamais vu aussi excité. » Je lui ai tapoté l’dos, doucement. « Allons, allons, on se calme. A va pas nous faire une crise pour quelques photos, tout d’même ? » Elle a hoché la tête. « Allez, r’tire le ch’misier ! » Elle a fait comme j’ai demandé. J’ai peloté ses nichons par dessus le soutif pour la chauffer un peu. « T’as vu, y faut pas grand-chose pour faire plaisir à un bonhomme! C’est pas compliqué! Alors ce soir, au programme, comme j’t’ai dit, photos pornos. Après, à Pépère, tu lui d’mandes de t’filmer en action pendant qu’ tu fais ta séance d’exhib, la pipe avec léchage des couilles, et pis après, comme j’ai dit, tu t’fous à quatre pattes pour te faire enculer, et ce s’ra fini! Suffit d’lui demander gentiment ! Tu vois, rien de bien méchant ! Ya pas de quoi faire la nerveuse ! Compris ? » Je voyais des larmes couler sur ses joues. Je sais, sur c’coup là, j’ai été un p’tit peu dur mais faut ce qui faut. Si tu laisse mollir, la mayonnaise tourne, c’est comme ça. La preuve, elle a répondu ...
... : «Oui, monsieur ! », après que j’lui ai roulé une pelle. Pas facile avec la cagoule mais là, c’était le moment ou jamais! Il faut que je l’adapte celle-là, je vais demander à ma logeuse ! « On s’est calmée ? On va pouvoir continuer ? » Elle a hoché la tête. « Allez, vire le soutif ! En récompense, Gégé va s’occuper tes p’tits nichons ! Ca te va ?» Elle a dégrafé son soutien gorge et j’ai pu tripoter ses tétons. « T’aimes bien quant on t’fait ça ? » Elle se mordait la lèvre inférieure ; « Oui, monsieur, c’est très bon! » J’ai ricané. Elle a rougi. J’ai appuyé sa tête vers moi pour qu’elle me roule encore une pelle et ma main est venue se fourrer sous sa jupe. Elle a frémi. J’ai senti un gros frisson envahir son dos. « Tu aimes? » Elle a hoché la tête. « Oui monsieur ! » « Alors écarte un peu, faut qu’ça passe mieux ! J’ai de grosses mains ! » Ma main est allée plus haut. Elle retenait sa respiration. J’ai touché sa fente. J’ai fait ce qui faut pour la chauffer. Elle a commencé à bien mouiller. A l’avait pas mis d’culotte. J’lui avais dit que c’était pas la peine. « Bon, allez, a va s’mettre debout et faire tomber sa robe pour montrer à Gégé c’qu’a va faire comme cochonnerie pour pépère, ce soir ! Allez, on y va! » « Oui, monsieur ! » Elle a retiré sa jupe et a commencé à bouger comme sur une piste de danse, les deux mains sur les nibards, les hanches ou le ventre et son regard se troublait, peu à peu. Moi, je matais le tableau, ses jambes, ses cuisses sous la fine résille de ...