Vicieux et fier de l'être (2)
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
Divers,
... » J’ai rigolé rien quà sa façon de causer: « Tu sais pas, c’est ça qu’est bon. Comme tu le f‘ras à chaque fois, tu vas finir par y prend’ goût ! En plus, j’le sais, pour avoir lu la rédac, ça t’botte. Par contre, j’vas lui faire la leçon pour qu’y t’laisse faire gentiment plutôt que d’y aller comme un clébard. D’accord ? Ca t’va comme ça ?» Elle avait l’air contente. Elle m’a souri. Y faut pas quand même grand-chose pour leur faire plaisir. Merde, j’allais oublier : « Ah oui, cette semaine, tu passes un coup de fil à BRAMOUT pour prendre rendez vous. Faut c’qui faut et çui là, j’le connais suffisamment d’réputation pour savoir qu’il est plus malin que l’concierge et qu’avec lui, tu vas pas t’ennuyer, c’est sûr ! !» Elle a tiqué un peu et a baissé les yeux. Elle était comme tassée, d’un seul coup. « Alors, ça va pas ? Y a que’que chose qui coince ? » Elle a baissé la tête. « Non, monsieur ! » J’ai ajouté en ricanant un bon coup : « J’admet, ça va p’tet être un peu dur, au début, mais après, tu vas t’y faire et y r’venir! Alors ? » Elle avait toujours la tête baissée : « Oui, monsieur ! » « Y faudra bien m’raconter tout ça dans une rédac, ok ?» Elle a hoché la tête. Qu’est ce qu’on ferait pas pour avoir l’droit de prendre son pied, tout de même ! « Maintenant, montre comment qu’tu t’es sapée.» D’entrée de jeu, j’avais décidé de la tutoyer pour la tenir en main. Faut jamais laisser filer la bête, les gars. Elle est v’nue d’vant moi, à 1m. A sentait bon. « Allez ! On y va, ...
... maintenant ?» Elle s’est reprise rapidement et s’est redressée: «J’ai choisi de porter un tailleur noir avec une jupe cintrée de chez « LAVANTI », un chemisier de soie noire du même tailleur milanais, un soutien-gorge, un slip et un porte-jarretelle noirs en dentelle fine. J’ai mis des bas noirs à résille, comme vous l’avez demandé, et des escarpins noirs à très hauts talons. » J’ai pas tout pigé mais elle est top sexy, hyper bandante. Pas le genre à aller faire l’herbe aux lapins, celle-là. Le reste, on s’en fout. Même en repassant le film, j’ai pas tout compris à ce qu’elle a dit! Elle avait choisi sa t’nue pour m’faire plaisir, ça j’avais noté. A voulait faire plaisir à Gégé, en somme ! « Parfait ! Tourne-toi, qu’on puisse voir tout ça ! Oui ! Voilà, comme ça ! Allez, viens sur mes genoux et montre tes p’tites photos de famille. On va r’garder ça ensemble.» Elle a sorti une enveloppe de son sac à main et a l’est v’nue poser son cul sur mes genoux. J’ai ouvert sa veste et lui ai demandé de l’enlever. Ca servait plus à rien et pis autant jouer un peu avec ses nichons en r’gardant ses photos cochonnes. « C’est quoi l’parfum? » « Loulou ! Monsieur. » « Hum, connaît pas ! Y sent bon ; Pépère et BRAMOUT vont t’baver d’ssus! Allez, montre tes photos qu’on s’excite un peu ! » Elle a sorti les photos. Des photos d’elle, habillée, puis à poil, debout, de face de dos, à genoux, sur l’ventre, sur l’dos, la bite de pépère en bouche ou en main, sur le tapis, jambes écartées et relevées. Une ...