1. La plage en juin


    Datte: 27/08/2018, Catégories: hh, inconnu, grossexe, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, préservati, hsodo, occasion, Gay

    J’arrivai sur la plage, enfin. Il faisait chaud, le soleil était déjà haut et j’étais essoufflé. Deux heures de marche pour l’atteindre cette plage ! Mais c’est le prix à payer. Ce n’est pas la plus belle des plages, non. Mais elle a ses avantages, car deux heures de marche en plein soleil, les familles avec marmots, bouées, parasols et panier pique-nique cela ne les tentaient pas. Monsieur aurait pris un coup de soleil sur son crâne dégarni, les gosses auraient hurlé qu’ils ne voulaient plus avancer et madame serait tombée en syncope avant de l’atteindre. Ceux qui font cet effort ont chacun leur raison. Il y a ceux qui apprécient le calme, les amoureux de la nature, mais il y a surtout les pédés. C’était un endroit de drague célèbre dans toute la région. Les petites dunes de sable qui la bordent et les taillis derrière les dunes n’y étaient pas pour rien. Mais aujourd’hui j’y venais surtout pour y passer une journée tranquille, loin du bruit, loin des gens. Je ne m’attendais pas à y faire des rencontres. On était début juin, mardi. Les gays y venaient surtout le week-end et seulement en fin d’après-midi, la semaine. J’avais mon sac avec de l’huile solaire, ma bouteille d’eau, des fruits et un Dashiel Hammet que je n’avais pas lu, trouvé par chance la veille chez un bouquiniste : tout pour passer une bonne journée qui s’annonçait comme une vraie journée d’été. Je fus content de trouver la plage totalement déserte. Je m’arrêtai dans un creux formé au sommet d’une petite dune ...
    ... de sable. Impeccable pour être à l’abri des regards d’éventuels passants et de la petite bise qui soufflait. Avant de m’installer, je scrutai la plage. Personne. Génial. Deux mecs au loin sur leur planche à voile et un catamaran à l’horizon. C’était les seules présences humaines visibles. Je sortis de mon sac ma serviette de bain et me déshabillai. Lorsque je fus à poil, comme chaque fois, je me mis à bander. Me sentir nu, caressé par le vent, me faisait à tous les coups le même effet. Je sentais ma queue enfler, durcir. J’étais seul, la bite dressée, c’était génial. Je regardai une nouvelle fois autour de moi pour m’assurer que j’étais bien seul. Rien du côté des taillis, rien à droite sur la plage, mais à gauche je vis les deux mecs tirer leur planche à voile sur le sable. Merde. Je m’accroupis, en espérant qu’ils ne m’aient pas remarqué. L’un était grand, baraqué, l’autre plus petit, mince, semblait plus jeune. Le plus grand inspectait la jambe du jeune qui s’était sans doute blessé. Je les voyais discuter mais j’étais trop loin pour les entendre. Le plus âgé remit sa planche à l’eau, l’autre lui fit un signe comme pour dire « ça va bien, ne t’occupe pas de moi » et s’assit sur le sable en se massant la cheville. Bon. Je n’étais plus seul mais ce n’était pas grave. Ils finiraient bien par partir. Je m’allongeai sur ma serviette, pour profiter du soleil. La marche m’avait tout de même un peu fatigué, je m’étirai et fermai les yeux. Le pied. Le bruit de la mer, du vent, les ...
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