1. La plage en juin


    Datte: 27/08/2018, Catégories: hh, inconnu, grossexe, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, préservati, hsodo, occasion, Gay

    ... l’impression qu’il me faisait. C’était encore un gamin mais qui savait drôlement bien « jouer docteur » ! — Je dois en avoir, oui. J’en ai toujours. Je fouillai fébrilement dans mon sac et en sorti une poignée de capotes ainsi qu’un tube de lubrifiant que je jetai sur ma serviette. J’aime baiser, mais je ne pouvais pas le blesser tout de même ! Est-ce qu’il avait déjà fait ça, d’abord ? J’eus un remord : — Tu es sûr que c’est ce que tu veux ? Tu as déjà fait ça ? Il éclata de rire : — Ne t’en fais pas ! J’ai l’habitude. Au pensionnat, la moitié de mes copains y est déjà passée. Dans ce cas. Je pris un préservatif et le sortis de son emballage. Il me le prit des mains. — Attends, dit-il, en souriant. Il voulait me le mettre lui-même. Pas de problème ! Ma queue, bien tendue n’attendait que ça. Mais au lieu de cela, il prit le préservatif et l’enfila sur son sexe. Que faisait-il ? Aussitôt sa verge enveloppée, il se saisit du tube de lubrifiant, en fit couler sur le bout de ses doigts et avant que je ne puisse réagir, il m’en enduit l’anus. La seconde d’après il écartait mes jambes et je sentais cette énorme queue pousser l’entrée de mon cul. C’était fou ! Jamais encore je ne m’étais fait baiser. Ce n’est tout de même pas un gamin qui allait m’enculer ! Le temps que ces phrases me passent dans l’esprit et il était en moi. Je découvrais soudain cette sensation inconnue jusqu’alors d’être « pris », « possédé ». Je ne sentais même pas la douleur tant cette sensation dépassait ...
    ... tout. Il était en moi. Je serrais les fesses pour mieux sentir le va-et-vient de sa queue. Il souleva alors mes jambes et les posa sur ses épaules afin de me pénétrer plus à fond. Je comprenais soudain les mecs que je baisais et qui criaient « plus fort, vas-y, à fond, oh, oui, baise-moi ! » Au bout d’un moment je l’entendis dire dans un souffle : — Je vais jouir ! Je n’eus pas à lui répondre. À l’idée qu’il allait déverser sa semence, un jet de sperme jaillit de ma queue et m’aspergea le torse. Le second jet m’atteignit le visage et comme j’avais la bouche ouverte, je sentis le goût salé de mon sperme sur ma langue. Il se retira de moi, enleva rapidement le préservatif et sans plus toucher son sexe, le laissa cracher de longs jets de foutre qui m’arrosèrent plus encore. Jamais je n’avais vu autant de sperme sortir d’une queue ! J’en avais partout : sur les jambes, la queue, le torse, jusque dans mes cheveux. En riant, il se laissa tomber sur moi et fit glisser son corps sur le mien pour s’enduire de nos deux semences mélangées. — Waouf ! C’était mieux qu’au pensionnat ! s’exclama-t-il en riant. Et tout en me regardant dans les yeux il m’embrassa doucement. — Mmm, ta langue goûte le foutre, dit-il. C’est le tien ou le mien ?— Je crois que c’est un peu des deux, répondis-je. Nous restâmes enlacés ainsi quelques minutes avant de courir jusqu’à la mer et plonger en riant. Jamais je n’avais été aussi euphorique. Lorsque nous sortîmes de l’eau, il regarda vers le large. — Je crois que ...