1. TANTE CATHY


    Datte: 28/08/2018, Catégories: Première fois

    ... tante Cathy." Ma tante riait de manière outrancière, la tête rejetée en arrière, les seins frétillants avant qu’elle ne se claque une cuisse du plat de la main. Soudain venimeuse après cet éclat de rire, le visage de ma tante redevint tendu quand elle se pencha sur moi. "C'est parce que je ne crois pas à leur baratin. Parce que je suis une rebelle. Les hommes m'obéissent, ou ils ne me touchent pas." Ma tante, méconnaissable, n'avait plus aucun point commun avec la femme que j'avais côtoyé toute ma vie. "Alors, parce que je suis une rebelle, Samuel, ce que tu vas faire, c'est pêcher ton petit vermisseau et jouer avec." Je l'ai fait parce que j'en avais férocement envie. Je l'ai fait parce que je ne voulais pas qu'elle me rapine à ma mère. Je l'ai fait parce que ça ne m'est pas venu à l'idée de refuser. Elle incarnait l'autorité. Mon visage était en feu quand j'ai décompressé et tiré sur le prépuce ratatiné avec mes doigts tremblants. Tante Cathy était cinglante: "Mon Dieu, ce n'est que ça? Ce n'est pas très impressionnant, Samuel? Dis-moi, as-tu déjà fait plaisir à une fille avec cette petite chose toute mollassonne?" C'était une torture de l'entendre se moquer. Humilié, je me suis tourné vers le mur. Je ne pouvais plus supporter l'expression de son visage, la joie mauvaise de ses yeux brillants. "Allez, vas-y, fais-toi durcir", a ajouté tante Cathy. "Secoue-moi ça, Samuel, sois énergique. Montre-moi les choses obscènes que tu faisais pour te pervertir." Le visage rougissant ...
    ... de plus en plus, je caressais ma bite, reconnaissant et soulagé qu'elle reprenne vie quand je me suis touché. "Regardez-moi ça" a tonné Cathy. "Une petite chose tellement pathétique. Accélère un bon coup!" Après un moment, ma bite était complètement dressée, enflée et lancinante, le désir me chauffait les reins malgré la situation dans laquelle je me trouvais. Ma convoitise bouillait dans mes veines et me donnait la confiance de vraiment travailler ma bite. Je ne pensais pas exactement cela, mais ce qui me traversait la tête, c'était quelque chose du genre: je vais te montrer, salope ... Le silence s'était installé entre nous. Les seuls bruits audibles étaient le grincement du sommier et la branlette humide et glissante de mon poing glissant sur la tige, le liquide pré-éjaculatoire graissant l’action. "Petite saloperie perverse! Tu es monté comme un âne!"murmura ma tante. Enhardi par la luxure: "C'est l'effet que tu me fais!" "C'est dégueulasse! Tu es dégueulasse!" protesta-t-elle. "Tu es adorable, tante Cathy!" je gémissais, fou amoureux de ma tante. "Tu aimes mes gros seins," répliqua tante Cathy. "J'ai remarqué que tu les regardais avant." Quand elle a mentionné ses seins, ma concentration s'est focalisée sur ces énormes orbes enveloppés dans le soutien-gorge. "Sale cochon", dit tante Cathy. "Tu les regardes maintenant. C'est juste sale, Samuel. Tu es un pourceau sale. " Puis, après un regard méprisant de dédain, ma tante a attrapé le fermoir dans son dos: "D'accord, tu ...
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