1. TANTE CATHY


    Datte: 28/08/2018, Catégories: Première fois

    ... sa colère libérait son langage vulgaire. Elle qui ne jurait jamais, sa rage lui faisait perdre son contrôle. Mais surtout, surtout, dans sa colère, elle agitait divinement ses seins et ses fesses, et j'étais entre l'enfer et le paradis! Tante Cathy m'a attrapé par les revers de ma veste pour attirer mon visage près du sien et m'a craché: "Je vais te donner une bonne leçon, animal nuisible. Tu vas faire tes saloperies devant moi et je vais te regarder, ce sera ma vengeance!" Mon éducation m'a habitué à obéir à l'autorité. Tante Cathy en fait partie. Que ses instructions soient immorales importait peu pour moi à l'époque. J'aurais pu refuser, mais mon esprit ne fonctionnait pas ainsi. Je tremblais devant une possible dénonciation, je paniquais, j'étais terrorisé par une potentielle réaction de ma mère. Ou pire, de mon père! Là, on changeait de dimension! Quelle pourrait être la sanction? Je n'en avais aucune idée, et c'est pour cela que je tremblais de frousse! De toute façon, je savais que j'aurais des ennuis si elle décidait de parler. L'humiliation serait énorme. Insupportable. Cela se répandrait comme une traînée de poudre. La famille. Les amis. La honte. L'infamie. Le petit pervers, le petit vicieux, ce gros cochon. Marqué au fer rouge, à vie! Non, elle me tenait, fière et sévère, j'étais cuit. Je redoutais beaucoup moins une violence physique de sa part, que l'effet pernicieux de la délation. La vie était cruelle et j'étais une petite merde. "Mais je ne peux pas, tata, ...
    ... je ne peux pas!" je haletais en sentant ma bite se contracter. "Tu vas m'obéir!" scanda ma tante, en détachant bien les syllabes, dents serrées, regard furibond. J'étais recroquevillé sur mon lit alors qu'elle se tenait courbée au-dessus de moi, les poings crispés sur ma veste, son regard plongé dans le mien. Je jetais un coup d'œil vers la porte, à la dérobée, me demandant si je pouvais lui échapper. Comme si elle avait lu dans mes pensées, ma tante m'a sourit méchamment: "Tu tentes quoi que ce soit, Samuel, et je vais de ce pas dire à ma sœur quel sale petit voyou tu es. Tu veux que je parle à ma sœur?" Tante Cathy a soulevé un seul sourcil pour souligner sa question. Larmoyant, je gémissais: "Oh non, s'il te plaît, ne dis rien à ma mère." Triomphante, la chienne incorruptible souriait en hochant la tête. Elle a désigné ma bite et m'a dit: "Exécution!" J'ai essayé de mendier. Ça l'a fait rire. "Tu as choisi la mauvaise proie, Samuel," dit tante Cathy. Elle fit la moue, me regardant avec une fausse pitié dans son expression: "Pauvre de toi. Tu n'es qu'un petit idiot pervers! Tu espérais échapper à tante Cathy? Tu croyais que j'allais faire preuve de pitié? De mansuétude? Que j'allais te gracier, émue par tes larmes de crocodile? Tu m'as prise pour qui? Une idiote? Tu ne savais que je pouvais être une salope intégrale? N'as-tu jamais pensé au fait que je n'ai pas d'homme dans ma vie, Samuel?" Je clignais des yeux devant la férocité de son expression. "Je ... je ne sais pas, ...
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