TANTE CATHY
Datte: 28/08/2018,
Catégories:
Première fois
... présentant comme une pauvre victime, violée par son neveu dépravé. Plus elle m'insultait, plus le mouvement de ses hanches augmentait et plus son souffle saccadé lui hachait la voix. Bientôt, elle fut incapable de parler, se contenta de gémir et de râler, avant de s'effondrer sur moi, tremblante et geignante, en plein délire. Profitant de son état second, je laissais mes mains prendre possession de son corps, de ses hanches, de ses seins, de ses fesses. Juste comme je pensais avoir atteint le sommet de la profanation, ma tante est sortie de sa transe: "À cru!" cria-t-elle, le visage tendu en me regardant dans les yeux. "Tu as joui en moi sans préservatif, Samuel ..." J'avais joui, mais pas en elle, même si à cause de l'excitation, ma bite était restée ferme. Apparemment, c'était le petit truc magique qui lui permettait de redémarrer. Elle gémissait en se tordant et en se frottant sur moi. Elle me disait que ma bite n'était pas un petit ver pathétique et qu'elle lui faisait beaucoup de bien. "... Je ne prends pas la pilule", a déclaré tante Cathy quand sa crise de démence fut calmée. "Tu pourrais me rendre enceinte. Tu pourrais mettre un bébé dans mon ventre." Je la laissais avec ses élucubrations, me concentrant sur la chair pulpeuse de ses seins gonflés, maltraitant l'un, mordillant l'autre, tandis qu'elle me broyait de toute la vigueur de ses hanches, sa chatte spongieuse sur ma bite dressée. Elle haletait et grognait, ses hanches tournoyaient dans un maelström fou, son ...
... désir semblant désespéré et urgent tandis que sa chatte ruisselait sur ma bite. Mes mains étaient pleines de son corps. Elle était effondrée sur moi, pantelante, le visage enfoncé dans mon cou, babillant des absurdités obscènes, espérant l'orgasme libérateur. Il est arrivé lentement. Tante Cathy, après plusieurs spasmes accompagnés de gémissement, cessa le mouvement frénétique de ses hanches. Puis elle laissa échapper un profond soupir, tremblante comme une feuille morte sous le vent d'automne, se pressant contre moi, son visage enfoui dans mon cou. Gardant ma bite en elle, tante Cathy s’étendit de tout son long sur moi. "Mon Dieu, j'ai perdu la tête!" souffla-t-elle, couvrant ma bouche de petits bécots. Sérieuse, elle me demanda: "Tu ne diras rien, n'est-ce pas Samuel?" J'ai bien senti l'inquiétude dans son ton et son regard. "Eh bien, je pourrais garder cela secret" ai-je répondu, saisissant l'opportunité. "Mais tu vas devoir t'abandonner à nouveau, tante Cathy. Je veux pouvoir profiter de ce corps à ma guise!" Je soulignais mon titre de propriété d'une claque sonore sur sa fesse. Ma tante m'a dévisagé fixement pendant plusieurs longues secondes. Puis elle s'est redressée, sa chatte gluante sur ma peau nue, et j'ai glissé ma jambe entre ses cuisses. "Sale petit fumier, tu veux me faire chanter, pourriture?" un sourire narquois sur les lèvres. "Oui," dis-je, souriant et fier de moi: "Je veux bénéficier de ta bonne éducation pour bien me comporter avec une dame." Je l'ai vue ...