1. TANTE CATHY


    Datte: 28/08/2018, Catégories: Première fois

    ... caresses se sont transformées en branlette. Penchée sur la baignoire pour se sécher, ma tante exposait ses fesses callipyges. De trois quart arrière, je voyais ses loches se balancer pendant qu'elle se tortillait pour enfiler sa culotte. Sa peau brillait de la chaleur du bain tandis qu'elle attrapait son soutien-gorge, fixant l'appareil pour emprisonner ses seins. Je n'avais pas pu voir ce qu'elle cachait entre ses jambes, j'imaginais quelque chose style piste d’atterrissage. Obnubilé par mon fantasme, ma main travaillait sérieusement ma bite lorsqu'elle s'est retournée. Ses yeux ont été attirés par le mouvement. Avant qu'elle ne puisse pousser un cri ou esquisser un geste, je me me suis enfuis dans ma chambre. Je n'y suis réfugié, recroquevillé sur mon lit, dans l'espoir qu'un miracle se produise. Mais elle a fondu sur moi comme la misère sur le pauvre peuple. Pleine de rage et de d'indignation, je redoutais sa vengeance. "Tu m'espionnais. Sale petite larve furtive ... Je t'ai vu, Samuel!" Ma tante poussa un énorme soupir, se redressa, essayant toujours de capturer mon regard. Elle croisa ses bras sous ses impressionnantes loches, les remontant et les gonflant. Ce mouvement m'hypnotisait. Ses seins me fascinaient. Les tétons poussaient contre la fine dentelle du sou-tif. Je demandais si elle pouvait me crever les yeux avec ça. "Mes seins!" railla tante Cathy. "C'est ça? Hein, petit pervers! C'est les seins de ta tante que tu reluques depuis tout à l'heure!" J'ai dégluti, ...
    ... crispé et anxieux: "Ouais, tu ne diras rien, n'est-ce pas?" Ma tante gloussa, les yeux plissés: "Ooh, monsieur ne veut pas que ça se sache, n'est-ce pas? Monsieur est un petit pervers, un sale petit rat, mais il ne faut rien dire qui puisse compromettre son honneur? C'est bien ça, petite crotte puante?" "Je suis désolé, je te demande pardon!" ai-je tenté, suppliant et larmoyant. "Ooh non, Samuel. Tu ne vas pas t'en tirer en disant désolé, pardon!" Tante Cathy me dominait de toute sa taille et me fixait d'un regard étrange: "Non, ce que tu vas faire, c'est me montrer exactement ce que tu faisais. C'était bien de le faire en cachette? Sans que je le sache? Alors ce sera aussi bien de le faire devant moi! Sans te cacher." La mortification m'a gelé. Puis exalté. Mes joues étaient brûlantes, et une sueur froide transpirait le long de ma colonne vertébrale. Consterné par cette épreuve, je protestais: "Quoi? Seigneur, mais non voyons, tante Cathy!" Ma tante était inflexible, ne tenait aucun compte de mes protestations. "Oh, tu vas le faire, Samuel. Pourceau vicieux. Tu penses qu'il est normal d'agiter ta petite bite en me regardant? Je suis la sœur de ta mère! Crétin! Je ne suis pas une pute que l'on siffle quand elle se déshabille. Je te connais depuis que tu es né. Tu devrais avoir un plus de respect pour les membres de ta famille! Débauché!" Elle était magnifique en colère. Pleine de rage, sauvage, elle postillonnait en éructant ses insultes. Je ne l'avais jamais vue furieuse avant, ...
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