Cougar, proie facile
Datte: 28/08/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
jeunes,
couple,
inconnu,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
revede,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
fsodo,
mélo,
extraconj,
... vite fait, elle va se retrouver à la rue, sans travail, à la merci du premier venu. Acceptera-t-elle mon aide, ne sera-t-elle pas trop fière pour reconnaître une erreur ? Et si elle a trop honte, osera-t-elle revenir ? Certaines femmes adultères ne croient pas à la possibilité du pardon et se perdent. Je me gratte le crâne puis je réponds : — Je l’aimais et je n’aurais jamais pris ces précautions, si je n’avais pas surpris sa trahison. Je l’aimais de tout mon cœur, comme au début de notre rencontre. J’allais mettre tous nos biens sur son nom, prendre une grosse assurance vie en sa faveur… J’aurais eu tort… Physiquement ? Avec un peu de sport elle aurait pu me plaire jusqu‘à la fin de ma vie. Il y avait juste les lèvres internes de son bijou qui dépassaient. Mais je m’en accommodais depuis toujours. Par contre l’Émile, au restaurant en faisait des gorges chaudes, disait préférer l’enculer… Ça va se savoir en ville, car l’oiseau ne brille pas par sa discrétion… Aussi crûment, oui. Les jeunes n’éprouvent aucun respect. L’autre salopard s’en moquait ouvertement auprès de ses copains et il leur avait même promis de la leur livrer pour examen et pour usage. Ils pourraient la baiser l’un après l’autre et en groupe si son défaut ne les dégoûtait pas. Petite pause. Je tourne en rond, je me répète, mon propos est désordonné à cause du trop-plein d’émotion. Je me ressaisis : — Pourquoi ne pas lui révéler cet aspect repoussant de ce cochon ? Regrettera-t-elle de ne pas être livrée à ...
... ce groupe pour une partie chaude ? Craindra-t-elle au contraire les atteintes à sa bonne réputation ? La balance a deux plateaux. Je lui fournis gratuitement des éléments de réflexion sans en avoir l’air, donc sans avoir l’air d’un juge. L’accusation n’est pas directe, n’humilie pas, c‘est mon souci, car ma rage tombe peu à peu. Je ne sais pas pourquoi, mais je l’aime encore ma vieille. Je ne l’appellerai plus jamais « ma vieille ». Promis. C’était un mot affectueux, l’aurait-il blessée, tournée vers la génération suivante ? — Jusqu’à la dernière minute, j’ai espéré qu’elle ne partirait pas, j’ai pensé qu’elle m’aimait encore un tout petit peu, juste assez pour éviter de tomber dans les pattes de ce minable voyou… Que voulais-tu que je fasse, je ne pouvais pas l’enchaîner. Je l’aimais trop pour lui enlever sa liberté. Non, non, l’argent libère, mais je n’ai pas gagné le mien pour qu’un gigolo s’en empare en la dépouillant. Ce que je vais faire ? Chercher une jeunette qui me rendra l’illusion de revivre ma propre jeunesse, dis-tu ?… Non. Je suis trop déçu… Plus jamais ça… Ah ! Si elle revenait… est-ce que je l’accueillerais ?… Je l’ai tant aimée, je crois que je lui sourirais et que je la prendrais dans mes bras et que je lui ferais l’amour comme un fou. Une main se pose sur mon épaule. Colette, dans mon dos demande : — À qui téléphones-tu ? Je lui tends l’appareil, personne au bout. — Mais il n’y a personne. Tout ce discours, c’était pour moi ? Je l’ai senti. Tu savais que ...