1. Cougar, proie facile


    Datte: 28/08/2018, Catégories: fh, fagée, jeunes, couple, inconnu, fsoumise, hdomine, cérébral, revede, noculotte, BDSM / Fétichisme fsodo, mélo, extraconj,

    ... une révélation à me faire. Je la croyais en congé. Elle se contente de me signaler que madame est sortie. La pauvre se sent prise entre deux feux, ne sait pas qui l’emportera. Elle a certainement observé les visites fréquentes d’un jeune homme très familier avec madame. Que la bonne m’apprenne les infidélités de ma femme serait une humiliation supplémentaire. Son regard compatissant suffit à me rassurer sur ses préférences. Je ne l’interroge pas pour ne pas augmenter son embarras ou ses craintes de perdre son emploi. Que m’apprendrait-elle de plus ? La chambre « où je ne mets jamais les pieds», je la trouve. De lourdes valises y sont alignées. Il y a même la précieuse ménagère reçue de mon parrain en cadeau de mariage ! Tout est prêt, Colette a bien l’intention de se volatiliser, en douce, sans me prévenir, en profitant de mon voyage. Je relis mon contrat de mariage, enterré dans un classeur depuis dix-huit ans. Mon père m’avait dirigé fort heureusement vers une séparation de biens, alors que par amour j’aurais demandé la communauté universelle et le partage en parts égales en cas d’une séparation inimaginable puisque j’étais amoureux. L‘amour m‘a rendu aveugle. Heureusement, ce midi au restaurant je n‘étais pas sourd. J’ai bien fait de suivre les conseils judicieux de mon père. L’improbable, l’inimaginable se produit. Colette, peu au fait et amoureuse de moi à cette époque se moquait de ces détails. Elle m’aimait, je l’adorais, nous serions unis pour toujours. Elle court ...
    ... au-devant d’une déception proportionnelle à la taille de son adultère et de ses plans machiavéliques. Elle rentre, les cheveux défaits, le maquillage brouillé, avec un mal de tête dû à la cohue dans les rues et les grands magasins, dit-elle. La réunion du matin ? Elle s’était trompée de date, s’excuse de m’avoir envoyé au restaurant. Une fois n’est pas coutume et j’ai certainement fait un bon repas. Elle se sent horriblement fatiguée, je ne peux pas savoir à quel point ! Après une douche bienfaisante, elle ira coucher sans manger. Ils se sont retrouvés à quatorze heures quelque part dans une chambre d‘hôtel. — Tu ne trouves pas que je prends de l’embonpoint, mon chéri ? Le « chéri » peu disposé à flatter sa femme adultère, la déçoit : — Oui, tu prends du ventre. À quarante-cinq ans, c’est un peu normal. Quel sport pratiques-tu en dehors de nos trop rares relations sexuelles ? J’ai touché ! En plein dans le mille. Elle me fixe, embarrassée. Elle m’a beaucoup négligé depuis un mois. Pensait-elle que je ne m’en apercevrais pas ? Elle s’interroge certainement. D’où me vient l’idée de cette pique ? La bonne ? Un voisin, un ami qui l’aurait vue entrer dans un hôtel avec son amant ? Je marque un point, mais sa passion nouvelle la pousse à contre-attaquer. — Rares, trop rares ? Il ne tient qu’à toi d’en augmenter la fréquence mon amour. Moi, je suis toujours disponible.— Dans ce cas, avant de te délaisser pendant quarante-huit heures, je vais immédiatement me livrer avec toi à une ...
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